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11/11/2025

Li Ching-Yuen, aussi connu sous le nom de Li Ching-Yun (李清雲 en chinois traditionnel, mort le 6 mai 1933) était un herboriste chinois qui aurait vécu plus de 256 ans. [1] Il aurait affirmé...

11/11/2025

Le mail est arrivé un mardi matin. Objet : “Annulation du projet”.
Deux ans de travail. Des centaines d’heures. Une équipe de huit personnes. Tout venait de s’écrouler en trois lignes administratives.
J’ai fermé mon ordinateur. Respiré un coup. Souri même à ma collègue qui passait. “Ça va ?” “Oui, oui, ça va.” Mensonge parfait. Performance impeccable.
Ma mère disait toujours : “Il faut être fort dans la vie.” J’avais appris la leçon. Ne rien montrer. Encaisser. Tenir bon. J’étais devenu expert dans l’art de faire comme si.
Les trois semaines suivantes, j’ai continué. Boulot, sourires, efficacité. Forteresse Jean-Marc. Inébranlable de l’extérieur.
Et puis un dimanche après-midi, seul chez moi, sans prévenir, je me suis effondré.
Pas un moment de faiblesse passager. Un effondrement complet. Assis par terre dans ma cuisine, le dos contre le frigo, incapable de bouger. Les larmes qui coulent, impossibles à arrêter. Ce n’était même plus de la tristesse. C’était comme si mon corps évacuait des mois, des années de retenue.
J’ai pleuré pendant une heure. Peut-être deux. J’ai perdu la notion du temps.
Et tu sais ce qui est arrivé après ?
Rien de dramatique. Rien de glorieux. Je me suis relevé. J’ai bu un verre d’eau. Je me suis assis sur mon canapé. Et pour la première fois depuis trois semaines, j’ai respiré vraiment.
Ce jour-là, j’ai compris quelque chose d’essentiel : ce n’était pas ma façade de force qui m’avait sauvé. C’était mon moment de faiblesse assumée.
On nous ment sur la résilience. On nous vend l’image du guerrier stoïque qui encaisse tout sans broncher. Du professionnel blindé qui ne laisse rien transparaître. De la personne “forte” qui ne craque jamais.
Sauf que cette force-là, c’est de la rigidité. Et ce qui est rigide finit toujours par casser.
Je repense à ce vieux saule pleureur dans le jardin de mon enfance. Les tempêtes le pliaient presque jusqu’au sol. On pariait à chaque orage : “Cette fois, c’est sûr, il va casser.” Il ne cassait jamais. Pendant ce temps, le chêne majestueux à côté, droit et fier, a fini par se fendre en deux lors d’une grosse tempête.
Le saule pliait. Le chêne résistait. Le saule vit toujours. Le chêne est mort.
Quelques mois après mon effondrement, j’ai rencontré Sylvie lors d’une formation. Infirmière aux urgences. Vingt-trois ans de métier dans le même service. Je lui ai demandé comment elle tenait le coup face à tant de souffrance quotidienne.
Sa réponse m’a désarçonné : “Je ne tiens pas le coup. Je traverse.”
Elle m’a raconté qu’elle pleure régulièrement. Dans sa voiture avant de rentrer. Parfois dans les vestiaires avec les collègues. Certains soirs dans les bras de son mari. “Les premières années, je retenais tout. Je voulais être professionnelle. Ça m’a conduite au burn-out. Maintenant, je laisse circuler. Les émotions entrent, les émotions sortent. Je ne suis plus un barrage. Je suis une rivière.”
Cette image de la rivière m’est restée.
Un barrage, ça retient. Ça accumule. Ça finit par céder sous la pression. Une rivière, ça coule. Ça traverse. Ça reste fluide même dans la tempête.
La vraie résilience, ce n’est pas s’endurcir. C’est rester souple. Ce n’est pas bloquer ses émotions. C’est les laisser passer. Ce n’est pas faire semblant que tout va bien. C’est accepter que parfois, tout va mal, et que c’est humain.
Depuis mon effondrement, j’ai changé ma façon d’accompagner les gens. Avant, quand quelqu’un venait me voir en difficulté, je lui proposais des stratégies, des outils pour “tenir le coup”. Maintenant, je commence souvent par une question simple : “Quand as-tu pleuré pour la dernière fois ?”
Le silence qui suit en dit long. Certains ne se souviennent même plus.
Un homme m’a répondu un jour : “À l’enterrement de mon père. Il y a sept ans.” Sept ans sans pleurer. Sept ans à tout retenir. Sept ans à se blinder. Il me consultait pour des douleurs chroniques au dos. Je ne suis pas médecin, mais je sais reconnaître un corps qui porte trop de non-dit.
On a travaillé ensemble, pas sur des techniques de gestion du stress, mais sur sa capacité à sentir. À accueillir. À laisser passer.
Six mois plus t**d, ses douleurs avaient diminué de moitié. “C’est fou, me dit-il, depuis que je m’autorise à ressentir, mon corps se détend.”
La pleine conscience m’a appris ça : créer de l’espace pour ce qui est là. Pas pour le transformer, le contrôler ou le faire disparaître. Juste pour l’accueillir. Comme on accueille un invité inattendu.
La colère arrive ? “Bonjour colère.” La tristesse pointe ? “Bienvenue tristesse.” La peur surgit ? “Je te vois, peur.” Pas de jugement. Pas de rejet. Juste : “Tu es là. Je te reconnais.”
Cette simple reconnaissance change tout. Parce que ce qu’on rejette nous poursuit. Ce qu’on accueille finit par passer.
Il y a quelques semaines, un nouveau coup dur est arrivé. Plus petit que l’effondrement du projet, mais réel. Mon premier réflexe a été l’ancien : serrer les dents, faire comme si.
Puis je me suis souvenu. Du dimanche après-midi. Du dos contre le frigo. Des larmes libératrices. J’ai appelé un ami. “J’ai besoin de parler. Ça ne va pas.” On s’est vus le soir même. J’ai parlé. Il a écouté. Je suis rentré chez moi plus léger.
Pas de héros solitaire. Pas de guerrier stoïque. Juste un humain qui accepte d’avoir besoin d’autres humains.
La résilience authentique se construit dans la connexion, pas dans l’isolement. Dans la souplesse, pas dans la rigidité. Dans l’acceptation de nos failles, pas dans leur déni.
Les Japonais réparent leurs céramiques cassées avec de l’or. Ça s’appelle le Kintsugi. Les fissures ne sont pas cachées. Elles sont mises en valeur. L’objet devient plus précieux après la cassure qu’avant.
Ta vie, c’est pareil. Tes moments d’effondrement ne te rendent pas faible. Ils te rendent humain. Tes fêlures ne diminuent pas ta valeur. Elles la révèlent.
Alors la prochaine fois que la vie te plie - et elle le fera, c’est son job - ne cherche pas à rester droit à tout prix. Plie. Comme le saule dans la tempête. Laisse les émotions circuler. Appelle quelqu’un. Pleure si tu en as besoin.
Ce n’est pas de la faiblesse. C’est de la sagesse.
Parce que la vraie force n’est pas dans la dureté. Elle est dans la capacité à rester souple quand tout pousse à se rigidifier. À rester ouvert quand tout nous dit de nous fermer. À rester vivant quand il serait plus simple de s’anesthésier.
Tu n’as pas besoin de t’endurcir pour survivre. Tu as besoin d’apprendre à danser sous la pluie.
Jean-Marc Terrel

LE RÉEL C'EST QUAND ON SE COGNE !« Le réel, c’est ce qui revient toujours à la même place ».Quand Lacan parle du réel, i...
10/11/2025

LE RÉEL C'EST QUAND ON SE COGNE !
« Le réel, c’est ce qui revient toujours à la même place ».

Quand Lacan parle du réel, il ne désigne pas ce qui est visible ou tangible, mais ce qui échappe à nos tentatives de mise en ordre, ce qui insiste, ce qui résiste. Le réel, c’est l’impossible à symboliser, ce qui revient tant que nous croyons pouvoir l’éviter. Dans un monde obsédé par la maîtrise, l’impossible n’est pas un échec, mais une structure. Il fonde notre désir, notre humanité, notre rapport à l’Autre. Et peut-être aussi, notre souffrance la plus féconde. Allez, c’est parti…

« Le réel, c’est ce qui revient toujours à la même place ». Quand Lacan parle du réel, il ne désigne pas ce qui est visible ou tangible, mais ce qui échappe à nos tentatives de mise en ordre, ce qui insiste, ce qui résiste. Le réel, c’est l’impossible à symboliser, ce qui revient t...

QUEL SERAIT VOTRE PLUS PETIT PREMIER PAS POSSIBLE ?On croit souvent qu’il faut tout bouleverser pour aller mieux : chang...
07/11/2025

QUEL SERAIT VOTRE PLUS PETIT PREMIER PAS POSSIBLE ?

On croit souvent qu’il faut tout bouleverser pour aller mieux : changer de vie, de travail, de relation, de soi. Mais la plupart du temps, la vraie transformation commence autrement — dans un geste minuscule, presque invisible, qui pourtant fait basculer quelque chose à l’intérieur. C’est un souffle, une décision discrète, une manière nouvelle de se parler à soi-même. En thérapie comme dans la vie, ce n’est pas la grandeur du pas qui compte, mais la direction qu’il prend. Et vous, quel serait votre plus petit premier pas possible ?

QUEL SERAIT VOTRE PLUS PETIT PREMIER PAS POSSIBLE ? On croit souvent qu’il faut tout bouleverser pour aller mieux : changer de vie, de travail, de relation, de soi. Mais la plupart du temps, la vraie transformation commence autrement — dans un geste minuscule, presque invisible, qui pourtant fai...

LA PULSION DE MORT, COMPRENDRE LE MOTEUR CACHE DE NOS AUTODESTRUCTIONSFreud voyait dans la pulsion de mort une force inc...
07/11/2025

LA PULSION DE MORT, COMPRENDRE LE MOTEUR CACHE DE NOS AUTODESTRUCTIONS

Freud voyait dans la pulsion de mort une force inconsciente à l’œuvre dans nos sabotages, nos répétitions et nos effondrements. Une clé essentielle pour penser la souffrance psychique au-delà du principe de plaisir. Avant de plonger dans les abîmes freudiens, rappelons-le : la pulsion de mort n’est pas qu’une idée morbide sortie d’un cabinet viennois enfumé. C’est une dynamique inconsciente à l’œuvre dans nos sabotages, nos addictions, nos guerres, nos ruptures et nos excès. Freud la formule en 1920, dans Au-delà du principe de plaisir, pour expliquer ce que la libido seule ne pouvait justifier : le besoin de revenir au néant. Mais paradoxalement, c’est peut-être en affrontant cette force destructrice que l’être humain trouve sa plus grande vitalité. Allez, c’est parti…

LA PULSION DE MORT, COMPRENDRE LE MOTEUR CACHE DE NOS AUTODESTRUCTIONS Freud voyait dans la pulsion de mort une force inconsciente à l’œuvre dans nos sabotages, nos répétitions et nos effondrements. Une clé essentielle pour penser la souffrance psychique au-delà du principe de plaisir. Avant...

26/10/2025

Tu peux te retenir pendant des semaines, encaisser, comprendre, pardonner même. Mais le jour où ton trop-plein déborde, où ton corps dit enfin ce que ton cœur n’osait plus, c’est ce moment-là qu’ils retiendront. Pas la blessure. Pas l’injustice. Pas les limites franchies mille fois avant.

Parce que ta colère dérange. Elle brise l’image qu’ils avaient de toi : celle de la personne calme, conciliante, facile à aimer. Elle met un miroir devant leur propre responsabilité. Et beaucoup préfèrent détourner le regard plutôt que d’y voir leur reflet. Alors ils parleront de ta réaction, de ton ton, de ton regard. Tout pour éviter de parler du déclencheur. Parce que la vérité met mal à l’aise ceux qui s’en nourrissent.

Mais ta colère, quand elle est consciente, n’est pas un défaut. C’est un signal. Un cri de ton être qui dit : « Assez. » Elle marque le point de bascule entre ce que tu tolères et ce que tu refuses. Elle n’est pas le problème, elle révèle le problème. Apprends à l’écouter sans t’en excuser. C’est souvent elle qui t’indique où tu t’es trop oublié.

Ceux qui te jugeront pour ta réaction n’ont probablement jamais eu le courage de regarder leurs propres déclencheurs. Toi, continue de guérir, de poser tes limites et de parler avec vérité. Parce qu’un jour, tu réaliseras que ta colère n’était pas un signe de faiblesse, mais la première preuve que tu avais enfin commencé à te respecter.

© Francis Machabée

PS : J’ai partagé en commentaire un article pour t’aider à approfondir ce sujet.

« Lettre aux parents…Cher Papa, chère Maman, cela fait maintenant six mois que je suis partie au collège, et je vous dem...
25/10/2025

« Lettre aux parents…

Cher Papa, chère Maman, cela fait maintenant six mois que je suis partie au collège, et je vous demande pardon de ne pas vous avoir envoyé de mes nouvelles plutôt, comme je l’aurais voulu. Mais maintenant, je vais vous mettre au courant de ce qui m’est arrivé pendant cette période. Avant de lire la suite, asseyez-vous. Vous ne devez pas lire plus loin avant d’être assis. Vous êtes bien d’accord ?

Alors cela va assez bien maintenant. La fracture du crâne ainsi que la forte commotion que j’ai eue quand j’ai sauté de la fenêtre du dortoir quand il a pris feu peu après mon arrivée, sont à peu près guéries. Je n’ai d’ailleurs passé que deux semaines à l’hôpital, et maintenant je peux voir presque normalement et je n’ai des maux de tête qu’une seule fois par jour.

Par chance, l’incendie et ma chute ont été vus par un employé de la station services, située près du collège, et c’est lui qui a appelé les pompiers et l’ambulance. Il m’a aussi rendu visite à l’hôpital, et comme je n’avais plus d’endroit où loger, à cause du dortoir, détruit par l’incendie, il a été assez gentil pour m’inviter à partager son appartement avec lui. Ce n’est en réalité qu’une chambre en sous-sol, mais c’est assez gentil. C’est un garçon très bien. Nous sommes tombés amoureux l’un de l’autre et nous envisageons de nous marier prochainement. On n’a pas encore fixé la date, mais ce sera avant qu’on remarque mon bébé.

Oui, Papa, Maman, je suis enceinte. Je sais combien vous serez contents d’être des grands-parents, et je suis sûre que vous donnerez a l’enfant, le même amour et la même dévotion que vous m’avez donnés quand j’étais petite moi-même. La raison pour le délai de notre mariage, c’est que mon fiancé a une infection mineure qui nous empêche de réussir notre examen sanguin. Cela disparaîtra bientôt avec les injections de pénicilline que je prends quotidiennement. Je suis sûre que vous l’accueillerai dans notre famille à bras ouverts. C’est un garçon très gentil. Bien qu’il ne soit pas très instruit, il est plein d’ambitions. Et je suis certaine que votre tolérance si souvent exprimée ne vous permettra pas d’être troublés dans le fait que sa couleur de peau, sa religion et ses valeurs sont différentes des nôtres. Je suis sûre que vous l’aimerez comme moi.

Maintenant que je vous ai mis au courant, je tiens à vous dire qu’il n’y a pas eu le feu au dortoir, que je n’ai pas eu de commotion, ni de fracture du crâne. Je ne suis pas enceinte, je n’ai pas la syphilis, je ne suis pas amoureuse, et il n’y a personne dans ma vie. Toutefois, j’ai obtenu un 3/20 en histoire et 1/20 en sciences et je voulais que vous voyiez ces notes dans une perspective appropriée. »

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