Quel est le site Web ?

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Õ' Coeur des Sens', 156, Rue du 8 Mai 1945, Villeneuve d'Ascq, Villeneuve-d'Ascq (2025)

Q: Quelle est l'adresse ?

156, Rue Du 8 Mai 1945, Villeneuve D'Ascq

03/12/2025

Pourquoi vous fuyez les relations stables.

Il existe un phénomène psychologique que beaucoup vivent sans le comprendre : la fuite instinctive des relations stables.

Vous ne fuyez pas parce que vous ne voulez pas aimer.

Vous fuyez parce que votre mémoire a inscrit la stabilité dans la catégorie “danger”.

Ce mécanisme n’a rien de magique ni de mystique.

Il est logique, cohérent et brutal :
le cerveau humain ne recherche pas le bonheur, il recherche le familier.

Si, dans votre enfance, le familier était l’instabilité, la peur, les cris, l’imprévisibilité ou les sentiments blessants, alors votre système nerveux a appris à s’adapter dans l’urgence, pas dans la sécurité.

La stabilité devient alors une anomalie.

Un silence sans tension vous met mal à l’aise.

Une personne qui vous traite avec constance vous paraît “trop parfaite”.

Un amour qui ne vous malmène pas vous semble suspect.

Vous appelez cela l’intuition, alors que c’est simplement un corps habitué aux montagnes russes.

En réalité, ce que vous fuyez, ce n’est pas la personne.

C’est l’environnement psychique nouveau que votre cerveau ne sait pas gérer.

La sécurité exige de ralentir, de faire confiance, de se laisser voir.

Et c’est précisément ce que la mémoire traumatique redoute le plus :
être vue, être vulnérable, être aimée réellement.

Beaucoup sabotent leurs relations au moment même où elles deviennent saines, non pas par méchanceté, mais parce que leur système intérieur n’a pas encore appris à se sentir en vie dans la paix.

La guérison consiste justement à reprogrammer cette association erronée :

Sécurité n’est pas danger.

Stabilité n’est pas piège.

Amour constant n’est pas manipulation.

Cette reprogrammation demande un travail profond sur la mémoire émotionnelle, les schémas d’attachement et les traces corporelles de l’ancien chaos.

Ce n’est pas un processus rapide.

Ce n’est pas une prière magique.

Ce n’est pas une décision mentale.

C’est une reconstruction intérieure qui exige lucidité, patience et rigueur.

Mais, pour ceux qui persévèrent, une vérité s’impose :
on peut apprendre à rester là où avant on fuyait.

On peut découvrir que la douceur ne tue pas.

On peut, enfin, se sentir chez soi dans un amour stable.

KABEYA - Institut de la Mémoire
Par Sucree.acidulee

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02/12/2025

✨️ Ensemble, mais libres...le respect est notre seul engagement ✨️

Citation De Vie

02/12/2025

✨ Quand l’ouverture rencontre le silence, un chemin de conscience ✨

Il arrive qu’un Être, avec courage, tente d’exprimer ce qui le blesse dans la relation.

Non pas pour accuser, mais pour grandir.

Non pas pour créer un conflit, mais pour préserver le lien.

Mettre des mots sur ce que nous ressentons, c’est accueillir notre propre vulnérabilité et choisir d’agir avec conscience.

Lorsqu’il s'exprime, il offre une partie de lui.

Une porte ouverte, tel un cadeau.

Celui de la confiance,

Celui du désir de nourrir le lien et d'approfondir la relation.

Mais parfois, en face, la porte reste fermée.

Le silence répond.

La froideur s’installe.

La conversation se détourne, ou continue comme si de rien n’était.

Alors naît en Soi un sentiment de confusion.

Comme si ce qui a été exprimé n’avait aucune importance, aucune valeur.

Comme si la vulnérabilité gênait, plutôt qu’elle ne rapprochait.

On se remet en question.

On doute.

On se demande si l’on a trop exprimé ou mal exprimé.

Pourtant, cette ouverture était sincère.

Elle révélait un cœur qui tente de poser un ressenti.

Un cœur conscient, qui ne veut pas fuir, mais comprendre.

Un cœur conscient que la relation peut être un lieu de croissance et non d’évitement.

Il est important de comprendre que la réaction de l’autre révèle ses limites, et non notre essence.

Peut être n’a t il pas les outils,

Peut être n’a t il pas encore cultivé la présence et l’écoute intérieure nécessaires pour accueillir la vérité d’autrui.

Ce n’est pas un rejet de nous, mais un miroir de son propre chemin.

Alors, on apprend.

À reconnaître la valeur de ce que l’on offre.

À comprendre que le silence de l’autre parle de lui, pas de notre valeur.

À exprimer nos besoins avec douceur, mais fermeté.

À observer si la relation peut contenir la profondeur que l’on espère.

Ainsi, cette expérience devient une invitation à la croissance.

À reconnaître la beauté et la force de notre vulnérabilité.

À poser des limites claires tout en restant dans la douceur.

À choisir consciemment les relations qui permettent un dialogue authentique et profond.

Chaque silence, chaque fermeture, chaque absence nous enseigne la patience, la persévérance, la compassion et l’importance de la présence consciente.

Un enseignement pour mieux revoir notre positionnement et accueillir ce que l’Être nous invite à explorer.

Grandir, c’est oser être vrai.

Mais c’est aussi choisir où déposer sa vérité avec discernement, là où elle peut se manifester et se transformer en compréhension et en Amour partagé.

Et parfois, la plus belle preuve de conscience est de continuer à ouvrir son cœur tout en apprenant où il peut réellement être accueilli.

©️Audrey Delrue
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02/12/2025

Lorsque tu exprimes à ton enfant qu’il n'y arrivera pas.

Au delà des mots, c’est une empreinte que tu déposes dans son monde intérieur.

Une phrase, parfois lancée sans intention de blesser, peut devenir un conditionnement silencieux et persistant qui façonne sa façon de se percevoir et de rêver.

Un enfant ne questionne pas la valeur de la parole de l’adulte, il l’absorbe, il l'enregistre comme étant une vérité.

Il construit ses limites à partir de ce qu’on lui reflète.

Alors, lorsqu’on lui dit qu’il n’y arrivera pas, ce n’est pas seulement une possibilité qu’on brise, c'est son imaginaire qu’on rétrécit.

Il engramme cette croyance comme une certitude sur lui même.

Ce qui réapparaîtra bien plus t**d, dans ses choix, ses décisions, ses hésitations, ses renoncements.

Et ce sentiment de ne pas être à la hauteur qui s’installe dans les habitudes les plus simples.

Il façonne la posture que l’on adopte face au monde.

Avant chaque initiative, il se répétera : Suis je capable ?

Chaque fois que l’enfant ne se sent pas reconnu dans son potentiel.

Il ressent une solitude.

Celle de devoir avancer sans regard bienveillant qui croit suffisamment en lui.

Il ne se donnera pas la permission d’y arriver en s’auto sabotant.

Parce qu’un enfant à qui l’on a répété qu’il n’en est pas capable finit souvent par devenir le gardien de sa propre cage.

Il n’a plus besoin qu’on le freine parce qu'il apprend à se freiner lui même.

Une façon de rester fidèle à l’image qu’on lui a renvoyée, une manière de ne pas risquer la déception.

Alors il hésite, il ralentit, il se fige, il renonce avant même d’essayer même s'il y a un immense désir d'y parvenir non pas parce qu'il manque de potentiel mais parce qu'il ne se donne pas la permission de réussir à sa juste valeur.

Soutenir un enfant c'est lui exprimer qu'on le voit, qu'on le reconnaît tel qu'il est et qu'on croit en lui.

Parce qu’au fond, ce que cherche un enfant et l’adulte qu’il deviendra, c’est la permission d’être et d'exister pleinement.

Lui dire qu'il est capable peut transformer son chemin.

Car lorsque quelqu’un croit en toi, réellement, profondément
il t’apprend à croire en toi même.

Et l’enfant découvre qu’il a toujours eu en lui, le droit d’essayer et le droit d’y arriver.

©️Audrey Delrue
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02/12/2025

Dans la plupart des parcours de dépendance, l’addiction n’est pas le problème premier : elle est la conséquence.

Ce que l’on observe en cabinet, c’est qu’elle représente souvent une tentative d’apaisement face à une souffrance accumulée depuis longtemps.

Cette souffrance trouve fréquemment son origine dans l’enfance.

Lorsque l’enfant n’a pas bénéficié d’un espace d’écoute sécurisant, lorsque ses émotions ont été minimisées, ignorées ou jugées, il apprend à s’adapter en mettant de côté ce qu’il ressent.

Il développe alors des stratégies de survie silencieuses : se faire petit, ne pas déranger, ne pas montrer sa vulnérabilité, s’éloigner de ses propres besoins.

Ce « gel émotionnel » crée une faille intérieure qui persiste à l’âge adulte.

La personne cherche alors instinctivement quelque chose qui pourrait calmer, combler ou atténuer ce vide.

L’addiction devient une solution improvisée :

Un moyen de tenir, de réguler, de supporter ce qui n’a jamais pu être exprimé.

Derrière chaque conduite addictive, il y a donc une histoire.

Celle d’un enfant intérieur resté en attente de reconnaissance, de sécurité et de soutien.

L’accompagnement thérapeutique permet de remettre du sens, de redonner une voix à cet enfant, et d’offrir enfin à l’adulte des ressources stables pour se reconstruire sans passer par la dépendance.

L’addiction n’est pas un échec :
c’est un signal.

Un appel au soin, à l’écoute et à la réparation.

Les différents types d’addictions :

⁃ Alcool

⁃ Tabac

⁃ Drogues douces et dures

⁃ Médicaments

⁃ Jeux vidéo

⁃ Dépendances sexuelles

⁃ Travail excessif

⁃ Jeux de hasard, etc.

Auteur inconnu
Alliance -Coaching

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01/12/2025

✨️ En ce 1er décembre, nous entrons dans une zone de basculement où le cycle 2025 arrive à maturité ✨️

Pour beaucoup, cette année aura représenté une vague d’intensification.

Un mouvement profond qui touche autant l’esprit que la matière.

Une sorte de dernière grande secousse avant un alignement plus stable.

L’année 2025 aura été pour de nombreuses personnes une année d’une grande puissance intérieure, marquée par des transformations successives qui, pour certain(e)s, sont en réalité le prolongement d’un chemin commencé depuis plusieurs années.

L’ego a été mis à rude épreuve, pour être traversé et compris.

Dépouillé de ses peurs, de ses illusions, de ses anciens mécanismes de survie.

Les situations répétitives ont agi comme des miroirs.

Il a dû se confronter au voile de l’illusion, révélant les zones d’ombre, les attachements et les craintes encore présentes.

Toutes nos tensions non résolues ont été exposées avec intensité, comme si la vie avait choisi de mettre en lumière chaque recoin encore figé en nous.

Beaucoup de mémoires, d’émotions enfouies, de blessures non résolues ont émergé avec force.

Rien ne pouvait plus être caché sous le tapis.

Chaque inconfort a été une invitation à se réaligner, à revenir vers l’authenticité.

Notre système nerveux, quant à lui, s’est trouvé en recalibrage permanent.

Les corps physiques et émotionnels ont dû absorber une quantité inhabituelle de lumière.

Les vieux schémas se sont représentés, parfois avec force, afin de tester notre positionnement.

Répéterons nous les mêmes scénarios, ou choisirons nous enfin de les clôturer ?

Nous traversons une période de ralentissement apparent.

Ce ralentissement n’est pas un arrêt, c’est un espace d’intégration où le corps reçoit, réajuste et harmonise ces différents changements.

Beaucoup ressentent ces manifestations vibratoires, cette sensibilité accrue, cette intuition plus fine, ces perceptions sensorielles amplifiées.

Lorsque les fréquences intérieures montent, le système nerveux tente de s’ajuster.

C’est pourquoi tant de personnes ont vécu et ressenti :

- une fatigue extrême,

- une agitation intérieure,

- une hypersensibilité,

- des variations du sommeil,

- des sensations vibratoires dans le corps,

- une perception accrue des sons et des stimulations sensorielles comme si tout était intensifié.

La fatigue extrême que beaucoup ressentent est une conséquence naturelle de ce processus d’expansion.

Elle n’est pas un signe de faiblesse, mais un rappel à l’écoute du corps, à la douceur, à l’ancrage.

Ce ralentissement n’est pas une inactivité, mais une intégration.

Le corps reçoit, transforme, réharmonise.

De nombreuses révélations se présentent...

Les prises de conscience se posent avec clarté, parfois avec évidence, parfois avec délicatesse.

Chacun(e), à sa manière, perçoit que quelque chose en elle, lui se réorganise et s’allège.

Dans cette traversée, il nous est demandé de demeurer dans l’Être.

Se libérer des résistances et des luttes et nous laisser porter par ce mouvement intérieur qui nous dépasse et nous élève.

C'est honorer le mouvement naturel.

Cette année aura été révélatrice et initiatrice.

Elle a mis en lumière ce qui devait être vu, transformé ou libéré.

- révélation de ce qui n’est plus compatible,

- révélation de ce qui appelle à naître,

- révélation de nos vérités profondes.

Elle nous prépare à une nouvelle stabilité, plus alignée, plus authentique, plus essentielle.

Beaucoup ont senti s’ouvrir des espaces nouveaux de compréhension, des intuitions plus claires, une lucidité parfois déroutante mais essentielle.

Restons présent(e)s, conscient(e)s et ouvert(e)s.

La transformation est en cours, et chacun(e) de nous participe à ce mouvement, dans son propre rythme.

Elle a remis chacun(e) face à son centre, à son authenticité, à ce qui ne peut plus être ignoré.

Ce passage n’est pas terminé, mais il annonce une stabilisation nouvelle, une maturation intérieure qui commence à s’ancrer.

Et vous, où en êtes vous dans cette traversée ?

Qu’est ce qui se révèle, se transforme ou demande encore à être accueilli en vous en cet instant ?

✨️✨️🫶✨️✨️

©️Audrey Delrue
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01/12/2025

Nous traversons toutes et tous des phases de croissance, des remises en question, des apprentissages, des cycles d’expansion et de retrait.

Ce cheminement est propre à chacun.

Un espace où se mêlent nos blessures, nos révélations, nos élans et nos renaissances.

Cet espace demande de l’écoute et du respect.

Lorsque certaines personnes ne voient pas cela.

Lorsqu’elles ne comprennent pas ton rythme, qu’elles ne prennent pas en considération ton évolution, ou qu’elles franchissent tes limites malgré tes mots, tes actes alors elles peuvent minimiser ce que tu ressens, ignorer tes besoins, exiger sans donner où même invalider tes perceptions.

Ce n’est pas simplement une incompatibilité, c’est un signal de non alignement.

Ton chemin n’a pas à être compris par toutes et tous, mais il mérite d’être respecté.

Et quiconque ignore ce respect t’envoie un message clair.

Il ne peut pas marcher à tes côtés dans cette étape de ton existence.

Car tes limites sont des repères.

Elles indiquent là où tu te reconstruis, là où tu te déploies.

Une personne qui ne les écoute pas ne protège pas ton intégrité.

Et celles et ceux qui les dépassent t’éloignent de toi même.

Alors oui, certaines personnes n’ont pas leur place dans ta vie.

Car elles ne correspondent plus à ton évolution.

Reconnaître cela est un acte de maturité émotionnelle.

Un geste d’Amour envers toi même.

Tu as le droit de préserver ton espace intérieur.

Tu as le droit de t’entourer de présences qui t’élèvent, qui t’écoutent, qui comprennent ton silence autant que tes mots.

Tu as le droit de choisir qui peut t’approcher, et qui doit rester à distance.

Grandir, c’est parfois laisser partir.

Et se choisir, c’est toujours se respecter.

Alors je t'invite à te poser ces questions :

Est ce que tu peux être toi même en présence de cette personne ?

Est ce que tes émotions sont pleinement accueillies ?

Est ce que cette situation ou relation t'aide à grandir ou te maintient dans la stagnation ?

Tu as le droit et même la responsabilité envers toi même de décider :

Qui peut t’accompagner

Qui peut rester à tes côtés

et qui doit s’éloigner.

Il arrive parfois que certaines personnes ne puissent pas suivre notre évolution, non parce qu’elles sont toxiques, mais parce qu’elles ne vibrent simplement plus sur la même fréquence.

Cela ne traduit pas que ces personnes sont mauvaises.

Mais que leur énergie, leur rythme, leur compréhension ne correspondent pas à qui tu es aujourd'hui.

Et dans une vie consciente, on apprend à reconnaître ce qui soutient notre expansion et ce qui la limite.

Et c’est normal.

©️Audrey Delrue
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30/11/2025

✨️ Quand tu reconnais ta valeur ✨️

Reconnaître ta valeur est un véritable voyage initiatique, un chemin intérieur où l’on apprend peu à peu à se rencontrer Soi même.

Lorsque tu sais qui tu es,
tu n’attends plus que les autres te valident ou te reconnaissent.

Tu n’offres plus le pouvoir à l’extérieur de te définir.

Parce que tu as choisi de réinvestir ton regard, ton estime et ton Amour en toi même.

Cette rencontre intérieure demande du courage.

Celui de t’accueillir tel - telle que tu es, de t’accepter avec la même douceur, la même compréhension, que tu offrirais spontanément à celle et ceux que tu aimes.

C’est un engagement envers toi, ne plus te fuir, ne plus te juger,
ne plus te cacher derrière ce que tu crois devoir être.

Reconnaître ta valeur est un apprentissage continu.

Chaque expérience, même les plus inconfortables, devient une opportunité de grandir, d’affiner ta conscience, de comprendre ce qui te nourrit et ce qui t’éloigne de toi.

Cela implique aussi d’apprendre à dire non, à poser des limites claires non pas pour exclure,
mais pour honorer ton espace intérieur.

C’est offrir une direction à ta vie,
et renforcer à chaque pas la conviction que tes capacités, ta vision et ta présence comptent.

C’est un positionnement quotidien, dans chacune de tes sphères de vie.

Dans tes relations,

Dans ton travail,

Dans tes gestes les plus simples,

Dans tes paroles,

Dans chaque interaction où tu choisis de rester aligné (e)avec Toi même.

Reconnaître ta valeur va bien au delà des concepts ou des connaissances.

C’est un état d’être qui demande une attention, une présence à ce qui se joue en toi à chaque instant.

Non pas une compréhension intellectuelle, mais une compréhension, enracinée dans ton expérience.

C’est une conscience qui se déploie, pas à pas et qui révèle progressivement la beauté et la force que tu portais déjà en Toi.

Alors cesses de te diminuer, de t'effacer, de te faire discret ( e) et de minimiser ta lumière.

Il y a ce potentiel créatif en toi.

Autorises toi à l'incarner pleinement.

Et reconnais que tu es Assez tel - telle que tu es.

©️Audrey Delrue

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30/11/2025

La sexualité, bien au delà de ce que la société met en avant, n’est pas simplement un acte ou une consommation.

Elle n’est pas cette recherche de performance ou de gratification immédiate que les normes laissent souvent croire.

Derrière l’apparence, il existe un espace infiniment plus subtil.

Celui où deux Êtres choisissent de se rencontrer dans leurs énergies, leurs vulnérabilités et leurs vérités profondes.

La sexualité, lorsqu’elle est vécue avec une intention consciente, devient un partage d’essence.

Deux Âmes se reconnaissent, se respirent, s’ouvrent l’une à l’autre.

Les fréquences et les frontières se mêlent, et une porte intérieure s’ouvre.

Cela dépasse largement la simple pulsion.

C’est une invitation à se transformer, à se déployer, à se laisser traverser par une énergie qui nous rappelle qui nous sommes réellement.

Cette intimité profonde n’a jamais été uniquement un “ faire ”.

C’est Être avec Soi, être avec l’autre, être avec le moment présent.

Dans cet espace Sacré, le corps devient un temple, un langage, un messager.

Chaque geste porte une intention, chaque souffle devient une prière silencieuse, chaque regard une offrande.

Lorsque l’on entre dans la sexualité en conscience, la destination cesse d’être le but.

Le voyage devient essentiel.

C’est à travers lui que se révèlent des zones cachées, des peurs anciennes, des émotions enfouies.

Ce chemin intérieur offre la possibilité de guérir, de libérer, de réconcilier.

L’intimité devient alors un espace alchimique.

Ce qui était blocage peut se transformer en ouverture,
ce qui était tension peut devenir respiration, ce qui semblait obscur peut s’éclairer.

Dans la sexualité Sacrée, le respect de l’autre est une évidence.

Il naît d’une écoute profonde.

Écouter son rythme, ses besoins, ses limites, sa sensibilité.

C’est une danse où chacun reste libre, où personne ne prend,
mais où chacun reçoit et offre à la fois.

Là réside la magie.

On ne cherche pas à combler un manque, mais à partager une présence.

Cette approche transforme l’intimité en un espace de guérison.

Pas une guérison imposée,
mais une guérison qui émerge de la douceur, de la lenteur, du consentement intérieur.

Les traumatismes, les peurs, les mémoires anciennes peuvent progressivement se dissoudre dans la sécurité d’un lien authentique.

Lorsque deux Êtres se rencontrent dans la bienveillance, l’énergie circule autrement.

Elle nettoie, elle répare, elle élève.

Ce n’est pas un espace de déchargement ou de compensation.

Ce n’est pas un refuge pour apaiser un manque, combler un vide ou anesthésier une blessure.

Il y a une intention qui précède le geste.

Une intention qui n’appartient ni au mental, ni à l’ego, ni aux conditionnements.

C’est une intention qui provient de l’Être.

De la même façon que le partenaire choisi n’est pas choisi par hasard.

Il ne s’agit pas de sélectionner un corps, mais de reconnaître une vibration.

Une fréquence qui résonne avec la nôtre.

Une Âme qui parle à la nôtre avant même que les mots ne soient prononcés.

On ne choisit pas pour être rassuré, validé ou rempli.

On choisit parce qu’un appel intérieur se manifeste.

Parce que quelque chose en Soi sait.

Ce choix ne se fait pas dans la précipitation mais dans la clarté, dans la douceur, dans l’écoute de la vérité du corps et du cœur.

Lorsque deux Êtres se rencontrent dans cette intention, ils ne se prennent pas l’un l’autre.

Is se reconnaissent.

Ils ne se possèdent pas.

ils se révèlent.

Ils ne se complètent pas.

ils se reflètent.

Alors la sexualité cesse d’être un exutoire pour devenir un acte créateur.

Un espace où se tissent la conscience, l’énergie et la présence.

Un espace où l’on ne cherche pas à prendre mais à offrir.

Où l’on ne cherche pas à obtenir mais à communier.

Où l’on ne cherche pas à performer mais à s’abandonner.

Dans cette intention profonde, chaque rencontre devient un passage, une initiation à Soi même.

Elle ouvre des portes intérieures que seule la vérité d’un lien peut toucher.

Elle fait émerger ce que l’Âme a besoin de voir, de libérer, de transmuter.

La sexualité Sacrée ne cherche pas la possession, mais l’expansion.

Pas la consommation, mais la communion.

Pas la fuite, mais la présence entière.

Et lorsque deux Êtres choisissent de se rejoindre dans cette conscience, alors l’acte devient prière, offrande, lumière.

Une célébration où l’Amour circule librement.

Il se vit dans la qualité de notre intention et dans la simplicité de cette reconnaissance mutuelle.

©️Audrey Delrue
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29/11/2025

Tu sais, personne ne choisit vraiment le moment où tout s’effondre.

Les épreuves arrivent comme des vagues qu’on n’a pas demandées.

Elles renversent nos habitudes, brisent nos certitudes, cassent nos repères.

Et même si on déteste ça sur le coup, ce sont souvent ces moments-là qui nous obligent à nous asseoir avec nous-mêmes et à regarder ce qu’on évitait depuis trop longtemps.

La douleur pousse là où on refusait d’aller.

Quand une épreuve te secoue vraiment, tu n’as plus le choix : tu es forcé de regarder en dedans.

Plus de masque, plus de rôle, plus de « ça va aller » pour sauver l’apparence.

Tu es nu face à tes propres vérités.

Et c’est précisément là que commence la déconstruction.

Non pas un effondrement inutile, mais un retour radical à ce qui est réel, brut, non négociable.

L’introspection devient un passage obligé, presque une urgence.

Parce que les plus grands déclics ne naissent pas dans le confort.

Ils émergent dans les moments où tu penses tomber en morceaux.

Quand tu pleures un peu trop fort.

Quand tu te crois incapable de supporter une minute de plus.

Quand tu te demandes sérieusement qui tu es devenu.

Ce sont ces fractures émotionnelles qui brisent la façade et révèlent ce qu’il y a sous la surface.

Tu ne le vois pas toujours tout de suite, mais quelque chose en toi commence déjà à se réorganiser.

L’épreuve t’impose une lenteur que tu n’aurais jamais choisie.

Elle t’oblige à te poser les vraies questions.

À revoir tes priorités.

À observer tes schémas.

À comprendre pourquoi tu réagis comme ça.

À accepter que tu ne peux pas continuer sur le pilote automatique.

Et c’est là que commence un autre type de courage : celui de te regarder en face et d’admettre que certaines parties de toi doivent mourir pour laisser d'autres naître.

Je suis convaincu que pour se réaliser pleinement, il faut accepter ces moments de déconstruction imposée par la vie.

Pas pour devenir quelqu’un d’autre.

Pour redevenir quelqu’un de vrai. Les épreuves ne sont pas là pour nous punir.

Elles sont là pour nous réveiller. Elles viennent frapper à la porte de l’âme pour dire :

« Tu vas où, exactement ?
Est-ce encore ton chemin ? »

Et parfois, ce rappel est violent. Mais essentiel.

Ce qui est magnifique, c’est que dans ces périodes où tu te sens brisé, tu réveilles des forces que tu ignorais posséder.

Une lucidité plus aiguë.

Une intuition plus mature.

Une résilience plus profonde.

C’est comme si, en te déconstruisant, tu faisais remonter des parts de toi longtemps enfouies, écrasées par les obligations, par la peur, par l’automatisme.

L’épreuve ne t’a pas détruit.

Elle a déterré tes fondations.

Et un jour, tu te surprends à respirer différemment.

À marcher différemment.

À penser différemment.

Les épreuves t’ont fait descendre en toi-même, et de cette descente, tu as ramené une force que personne ne pourra jamais t’enlever.

Et ça, c’est la plus belle reconstruction qui existe.

© Francis Machabée

PS : Si tu es dans une phase où tout se déconstruit en toi, ma série d’exercices peut t’aider à te retrouver pas à pas. Lien en commentaire.

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29/11/2025

Il arrive que certaines personnes reviennent dans ta vie comme si rien n’avait jamais eu lieu.

Elles réapparaissent sans remise en question, sans excuse, sans le moindre geste qui témoigne d’une réelle compréhension de leur comportement passé.

Elles tentent de reprendre leur place dans ton présent, mais sans initier de véritable transformation, perpétuant alors la même dynamique relationnelle qui, autrefois, t’a blessé ou fragilisé.

Pourtant, une personne réellement consciente, respectueuse de ton histoire et de ton cheminement, ne revient jamais de cette manière.

Elle porte une vision claire.

Elle sait écouter, reconnaître ce qui a été douloureux et mesurer l’impact de ses actes.

Elle se montre humble, ouverte, attentive.

Elle ne cherche pas à effacer le passé, mais à y répondre avec maturité.

Et lorsque chacun se trouve aux prises avec une incompréhension, une tension ou un inconfort, la communication devient essentielle.

C’est elle qui crée l’ancrage, qui réintroduit la vérité, qui stabilise le lien.

Sans paroles sincères, sans mise en lumière des zones d’ombre, aucune avancée n’est possible.

La relation ne peut s’épanouir que dans l’espace où chacun ose exprimer, entendre, et accueillir l’autre avec authenticité.

Car lorsque rien n’est transformé, le passé ne disparaît pas.

Il se répète.

Il infiltre le présent et en déforme la qualité.

On ne peut pas prétendre bâtir du neuf lorsque les fondations demeurent fissurées.

La guérison, elle, s’enracine dans la vérité.

Elle exige de reconnaître la blessure, d’engager des efforts sincères et constants.

Elle demande du courage.

Celui de se voir tel que l’on est, puis de choisir de devenir quelqu’un de meilleur.

Il ne peut y avoir de renaissance sans lucidité, sans parole, sans changement réel.

Bien évidemment, cela va au delà des mots.

Le changement passe par les actes et la manifestation d’une nouvelle posture

Revenir ne suffit pas.

Encore faut il revenir autrement, et surtout, revenir Vrai.

©️Audrey Delrue
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28/11/2025

🙏✨️🙏

Õ' Coeur des Sens'

03/12/2025

02/12/2025

02/12/2025

02/12/2025

02/12/2025

01/12/2025

01/12/2025

30/11/2025

30/11/2025

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29/11/2025

28/11/2025

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