Manger librement

Manger librement 💜 Spécialiste du comportement alimentaire
🫵 Change ton rapport à l'alimentation & à ton corps
👋Bye-bye les troubles alimentaires
accompagnement en ligne ⬇️

Une nouvelle approche de l'alimentation qui vous permettra de retrouver le plaisir de manger sans culpabilité!

07/12/2025

Les chocolats de Noël ne posent pas problème…

C’est la façon dont on les mange qui crée la culpabilité, les compulsions ou le “foutu pour foutu”.

Quand vous choisissez vraiment ce que vous aimez, que vous prenez le temps de savourer et que vous écoutez le moment où le plaisir diminue…

l’alimentation redevient simple, apaisée et sans restriction.

C’est exactement ce que j’enseigne :

manger avec plaisir, sans perte de contrôle, sans régime et sans stress — même pendant les fêtes.

🎁 Envie de sortir des compulsions et de retrouver une relation sereine à la nourriture ?

Écrivez-moi et vous répond avec plaisir 💜

05/12/2025

Il existe une croyance très répandue sur la nourriture…

Une croyance tellement ancrée

qu’elle gâche les fêtes de beaucoup de personnes.

Peut-être que toi aussi,

tu l’as intégrée sans même t’en rendre compte.

Tu te dis “faut éviter ça”,

“ça, ça fait grossir”,

“mieux vaut pas en reprendre”.

Tu es vraiment persuadée

que certains aliments font plus grossir que d’autres.

Mais laisse-moi te dire une chose :

cette croyance est fausse.

Vraiment fausse.

Et elle te gâche ton rapport à la nourriture.

La vérité, c’est que rien, absolument rien,dans un aliment en lui-même,ne peut te faire prendre du poids juste en le mangeant.

Ce qui compte,

ce n’est pas “cet aliment-là”.

C’est l’ensemble des apports,

mais surtout…

👉 ton rapport à ton alimentation.

Parce que ce qui crée vraiment le problème,

ce n’est pas un bout de fromage,

une part de bûche,

ou un chocolat de trop.

Ce qui crée le problème,

ce sont :

- les restrictions
- les régimes à répétition
- la peur de manger
- l’obsession de “bien faire”
- les craquages qui suivent la frustration
- les émotions cachées derrière les pulsions

Ce n’est pas l’aliment.

C’est ce que tu en fais,

et l’histoire qui y est associée.

Si tu n’y crois pas,

je te propose une petite expérience :

👉 Choisis l’aliment que tu considères comme “le plus grossissant”.

Mange-en une portion par jour pendant 5 jours,

sans rien changer au reste de ton alimentation.

Puis reviens me dire ensuite si tu as pris du poids.

(Moi, je connais déjà la réponse.)

Parce que ce n’est jamais un aliment isolé qui fait grossir.

C’est la peur, la restriction et la lutte permanente

qui perturbent ton corps… t’empêche de te connecter à tes vrais signaux,

et te font perdre le contrôle.

🧡 Si tu veux apprendre à sortir de ces croyances

et retrouver un rapport sain et libre à la nourriture,

écris **LIBERTE** en commentaire ou en message privé.

03/12/2025

Les repas de fêtes s’enchaînent… mais vous avez le droit de rester à l’écoute de votre corps.
Pas besoin de “compenser”, de vous restreindre ou de culpabiliser : votre faim et votre satiété restent vos meilleurs repères alimentaire 🎄✨

Concentrez-vous sur vos sensations
→ manger quand vous avez faim, vous arrêter quand c’est suffisant, savourer quand vous en avez envie.

C’est ça, une alimentation apaisée.

Si vous avez tendance à perdre le contrôle pendant les fêtes (ou à stresser à l’avance), je vous accompagne pour sortir des compulsions, de la culpabilité et du foutu-pour-foutu, sereinement, sans régime et sans frustration.

🎁 Envie d’en parler ?
Écrivez-moi en DM 💛

01/12/2025

Pendant les fêtes,

il y a une phrase que beaucoup de personnes se répètent…

sans se rendre compte qu’elle les fait manger deux fois plus.

Peut-être que toi aussi,

tu te surprends à y penser chaque année,

un peu en arrière-plan,

comme si c’était “normal” de faire ça.

Sur le moment,

cette phrase paraît rassurante.

Tu crois qu’elle va t’aider à garder le contrôle.

Qu’“après”, tu gérerais mieux.

Mais en réalité,

c’est souvent elle

qui te fait perdre le contrôle.

Cette phrase, c’est :

👉 « Je me reprends après les fêtes. »

Sous-entendu :

🧠 “Là, je me lâche.

Après, je remettrai mon corps en restriction.”

Et ton cerveau entend parfaitement le message :

“Profite maintenant, parce qu’après, ce sera fini.”

Résultat ?

Il passe en mode open bar.

Tu manges plus vite,

plus que ta faim,

avec cette impression de “c’est maintenant ou jamais”.

Ce n’est pas un manque de volonté.

C’est juste ton corps qui anticipe la privation.

Alors si tu te reconnais dans ce mécanisme,

essaie plutôt ça :

Au lieu de te dire :

« Je me reprends après »,

dis-toi plutôt :

✨ « Je profite de ce mois de fêtes pour commencer à relâcher la pression autour de mon alimentation,

tout en restant connectée à mon corps :

faim, pas faim, plus faim, envies…

Et je continuerai ensuite sur cette lancée

pour retrouver la paix avec mon corps et mon assiette. »

Pas de rupture brutale.

Pas de “avant / après”.

Juste une continuité plus douce,

qui rassure ton corps

et apaise les pulsions.

🧡 Si tu veux que je t’accompagne dans ce travail,

écris LIBERTE en commentaire ou en message privé.

29/11/2025

Tu ouvres un paquet “juste pour goûter”…

et sans t’en rendre compte, il est déjà vide ? 🍪

C’est tellement fréquent

et non, ce n’est pas un manque de volonté.

C’est juste que tu n’étais pas vraiment là.

Ton corps mangeait, mais ton esprit était ailleurs :

dans tes pensées, ton stress, ou ton automatisme.

Alors, la clé, ce n’est pas de cacher le paquet.

C’est de remettre de la conscience dans ce que tu fais.

👉 La prochaine fois, garde ton aliment devant toi et ralentis.

Observe tes gestes, ton plaisir, ton rythme.

Et si tu sens que tu t’emballes ou que tu te déconnectes,

referme le paquet ou va le ranger.

Attends dix minutes, puis reviens voir si tu en veux encore

ou si, finalement, c’est ok pour toi.

Et si un jour tu te laisses embarquer,

ne t’en veux pas. Remarque simplement ce qui t’a entraînée.

Retiens cette expérience pour plus t**d.

✨ Rome ne s’est pas faite en un jour.

⚠️ Petite note importante :

Si tu es souvent dans la privation, la restriction,

ou que tu manges régulièrement sous le coup d’une émotion,

cet exercice sera sûrement plus difficile à mettre en place.

C’est normal ❤️

Avant de pouvoir manger en pleine conscience,

il faut d’abord travailler sur la privation et l’alimentation émotionnelle.

C’est ce qui permet au corps et au mental de se sentir en sécurité.

💬 Et toi, tu arrives à t’arrêter avant la fin du paquet ?

Raconte-moi en commentaire comment tu vis ces moments 💛

27/11/2025

J’en parle souvent ici :

les envies de sucre qui apparaissent sans vraie faim sont souvent liées aux émotions.

Mais aujourd’hui, j’aimerais ajouter une petite nuance 🍫.

Car parfois, ce besoin de sucre n’a rien d’émotionnel.

C’est simplement le signe que votre corps réclame quelque chose.

Dans mes accompagnements, on parle très peu de nutrition pure (à peine 10 %),

mais certains déséquilibres physiques peuvent entretenir ces envies

et fausser votre lecture émotionnelle.

Voici ce qui peut se passer 👇

1. Les grignotages sucrés entretiennent le cercle vicieux

Quand vous mangez du sucré seul (biscuit, fruit, café sucré…),

votre glycémie monte vite, puis redescend brutalement.

Et quand cette baisse arrive, votre cerveau panique :

“Il me faut du sucre, maintenant !”

Ce n’est pas un manque de volonté : c’est une réaction biologique normale.

2. Des repas incomplets favorisent ces envies

Quand vos repas manquent de protéines, de fibres ou de bons gras,

le sucre est absorbé trop vite,

et la sensation de faim (ou d’envie de sucre) revient très rapidement.

Les protéines, notamment, sont vos alliées anti-fringales :

elles stabilisent la glycémie et évitent les montagnes russes énergétiques.

✨ Le sucre n’est pas un ennemi, il est plutôt un messager, celui d’un besoin non comblé.

Pour savoir si ce besoin vient de votre corps ou de vos émotions,

essayez ce petit test d’observation :

Mes repas sont-ils suffisamment complets et riches en protéines ?

Est-ce que je ressors de table satisfait(e) et apaisé(e) ?
➡️ Si la réponse est oui, cette envie vient probablement d’un besoin émotionnel.
➡️ Si la réponse est non, c’est peut-être votre corps qui réclame simplement plus d’équilibre et de stabilité.

Et vous, ces envies de sucre, elles apparaissent plutôt quand vous êtes fatigué(e)… ou entre deux repas ?

25/11/2025

Avant, je ne pouvais pas avoir de chocolat chez moi.

Si j’en avais, je finissais toujours par tout dégommer.

Je me disais :

“Mieux vaut ne pas en acheter, comme ça je ne craque pas.”

Mais dès qu’il y en avait quelque part, chez des amis, au travail, en soirée,

je perdais le contrôle.

Je mangeais vite, beaucoup, sans vraiment savourer.

Et la culpabilité arrivait aussitôt.

Je pensais vraiment que je manquais de volonté.

Alors j’ai essayé de “tenir”, de me priver encore plus.

Mais plus je résistais, plus j’en avais envie.

C’était devenu obsessionnel.

💬 C’était l’histoire d’une de mes patientes,

jusqu’au jour où elle a compris que le problème, ce n’était pas le chocolat.

C’était la privation.

Ce sentiment constant d’interdiction qui la poussait à compenser dès qu’elle “craquait”.

Alors, on a travaillé sur cette peur de “ne pas se contrôler”.

Elle a réintroduit petit à petit les aliments qu’elle s’interdisait.

Elle a appris à :

✅ Se donner le droit de tout manger, vraiment

✅ S’écouter pour reconnaître quand elle était satisfaite

✅ Retrouver confiance en elle et en son corps

Et aujourd’hui ?

Le chocolat est là, dans son placard.

Elle en mange quand elle en a envie, parfois un carré, parfois plus.

Mais surtout : elle ne se jette plus dessus.

Si tu te reconnais dans cette histoire, retiens bien ceci :

Ce n’est pas la présence du chocolat qui crée la compulsion,

c’est la peur de ne pas y avoir droit.

💛 Quand tu t’autorises sincèrement,

le besoin de “tout finir” disparaît.

🤍 Je suis diététicienne comportementaliste, spécialisée dans les TCA.

Je ne suis pas là pour te dire quoi manger,

mais pour t’aider à sortir du cycle privation / pulsion / culpabilité

et retrouver une relation apaisée à la nourriture et à ton corps.

💬 Écris-moi en privé si tu veux en parler.

23/11/2025

Tu sais… il n’existe pas qu’une seule envie de sucre.
Et si tu veux vraiment apaiser tes craquages, c’est essentiel de comprendre ça 👇

Il y a l’envie de sucre normale.
Celle que tout le monde a.
Une envie simple, naturelle, qui ne cache rien de particulier.
Et dans ces moments-là, ton cerveau a besoin d’une seule chose :
👉 savoir que tu y as droit.
Que tu ne vas ni te priver, ni culpabiliser.

Rien que ça, ça fait déjà redescendre l’envie.
Parce qu’une envie simple… elle s’apaise quand on l’écoute.

Et puis il y a l’autre envie.
Celle qui arrive comme un besoin urgent, presque incontrôlable.
Pas une envie “plaisir”.
Une envie “compensation”.
Elle vient souvent de l’ennui, du stress, d’un vide, d’un manque…
Et tu l’as sûrement remarqué :
👉 même quand tu y réponds, elle revient. Encore et encore.

Dans ces moments-là, ton cerveau a toujours besoin de savoir que tu y as droit…
… mais surtout, il a besoin que tu trouves la vraie réponse à ce qui se passe en toi.
Et ce n’est pas toujours du sucre.

Alors fais juste cette chose, très simple :

👉 Quand tu as envie de sucre, prends 1 minute.
Dis-toi : “J’y ai droit. Je peux y répondre.”
Puis demande-toi :
“Est-ce que ce sucre va vraiment combler ce que je ressens… durablement ?”

Si la réponse est non, cherche ce qui te ferait vraiment du bien maintenant :
du repos, une pause, un câlin, bouger, respirer, te nourrir intellectuellement…
Écoute ce qui vient.

Cette prise de recul, toute simple,
c’est déjà le premier pas vers l’apaisement.

Et si tu veux aller plus loin dans la compréhension de tes envies,
💬 écris SUCRE en commentaire ou en message privé.

21/11/2025

Quand une envie alimentaire arrive, tu sais ce qui change tout ?Te demander : qu’est-ce qui va vraiment me satisfaire ?

Pas ce qui “devrait” être mangé.

Pas l’aliment “raisonnable”.

Mais celui qui t’apporte du plaisir, de la détente et une vraie satisfaction.

C’est comme ça que tu régules tes envies.

C’est comme ça que tu évites les compulsions, le “je craque”, puis la culpabilité.

Parce que la satisfaction, en psychonutrition, c’est un vrai outil : plus tu t’autorises, plus ton corps se régule naturellement.

Et dans l’approche sans régime, c’est toujours la même chose :

tu écoutes,

tu choisis ce qui te fait du bien,

tu te fais confiance.

Alors dis-moi :

qu’est-ce qui te satisfait vraiment quand une envie arrive ?

Je lis toutes tes réponses 🤎

19/11/2025

Tu verras cette phrase change tout.

Mais avant ça, il y a une chose essentielle à comprendre 👇

Ton cerveau doit savoir qu’il a le droit de manger,

faim ou pas faim.

Ce droit-là, c’est la base.

Parce que tant qu’il se sent privé ou surveillé,

il te poussera toujours à manger “en cachette”, vite, sans conscience.

Alors, rappelle-lui ceci :

“J’ai le droit de manger, même si je n’ai pas faim.”

Et maintenant, seulement, tu peux te poser la phrase clé 👇

“Est-ce que ce que je m’apprête à manger va vraiment répondre à mon besoin du moment ?”

Cette question, toute simple, te permet de :

1️⃣ Identifier ton ressenti : suis-je stressé(e), fatigué(e), tendu(e), vide, ennuyé(e) ?

2️⃣ Reconnaître le besoin derrière : ai-je besoin de repos, d’affection, de réconfort, de stimulation, de douceur ?

3️⃣ Choisir consciemment : ai-je envie de manger ou pas ?

Et si oui, est-ce que ce que je choisis va vraiment m’apaiser ou simplement combler un vide temporaire ?

✨ Le but n’est pas de ne plus manger sans faim,

mais d’apprendre à choisir avec conscience.

Parce que parfois, manger un peu sans faim est une réponse adaptée :

un moment de plaisir, de réconfort, de partage.

La différence, c’est que tu ne subis plus.

Tu choisis.

💬 Et toi, tu t’arrêtes parfois avant de manger pour te demander ce dont tu as vraiment besoin ?

Essaie cette phrase la prochaine fois et observe ce qui se passe

17/11/2025

Tu veux savoir quelle est l’erreur alimentaire la plus fréquente

chez les personnes qui ont des pulsions alimentaires ?

Je te préviens… elle est beaucoup plus simple (et courante) que tu ne l’imagines.

Ce n’est pas de “craquer sur du sucre”.

Ce n’est pas de “manquer de volonté”.

C’est tout simplement… de ne pas assez manger.

Beaucoup de personnes mangent trop peu en journée :

par peur de grossir, pour “manger léger”,

ou juste par habitude, par oubli, par manque de temps.

Résultat ?

En fin de journée, la fameuse dalle à tout dégommer débarque.

Et là, plus rien ne peut l’arrêter.

Ce n’est pas un manque de contrôle, c’est juste ton corps qui réclame son dû.

Ton corps a besoin de se nourrir quand il est actif,

pas seulement le soir une fois la journée terminée.

Si tu ne lui donnes presque rien pendant qu’il dépense de l’énergie,

il est normal et humain qu’il cherche à tout rattraper dès que tu relâches la pression.

Alors plutôt que de te juger à cause de ces pulsions,

fais le test cette semaine 👇

➡️ Mange un peu plus en journée : un vrai petit-déj, un déjeuner complet, une collation si besoin.

➡️ Observe ensuite si tes pulsions du soir sont aussi intenses.

Tu verras… ton corps ne te trahit pas.

Il cherche juste à te protéger, à te rééquilibrer.

Et quand tu apprends à l’écouter, il se calme naturellement.

💬 Dis-moi en commentaire : tu fais partie de celles et ceux qui mangent très peu en journée ?

15/11/2025

Je le précise avant tout :

👉 Ce message s’adresse uniquement à celles et ceux qui mangent souvent au-delà de leur faim.

Si tu manges déjà peu, inutile de réduire encore,

tu as peut-être même besoin de manger plus.

Mais si tu ressens régulièrement :

un inconfort après le repas (sur une échelle de 0 à 10, au-dessus de 6, c’est souvent trop),

une sensation de lourdeur ou de fatigue après avoir mangé,

ou une prise de poids progressive sans grignotage particulier,alors ces astuces pourraient bien t’aider

Voici 3 astuces pour manger moins, sans te priver 👇

1. Ralentis vraiment le rythme

Manger vite t’amène forcément à manger plus.

Le cerveau met environ 20 minutes à percevoir la satiété.

Résultat : si tu manges trop vite, tu dépasses ton besoin avant même de t’en rendre compte.

En ralentissant, tu laisses à ton corps le temps d’envoyer le signal “c’est bon, j’ai eu assez” et tu ressens plus de satisfaction avec moins.

2. Utilise une assiette de taille moyenne

Pas une assiette à dessert, mais pas non plus un grand plat creux.

Une assiette avec rebord, comme à la cantine, suffit largement.

Mieux vaut te resservir si besoin,

plutôt que de te servir trop et de te sentir obligé(e) de tout finir.

3. Apprends à reconnaître le vrai rassasiement

Beaucoup de personnes s’arrêtent de manger quand elles sont pleines,

mais le vrai rassasiement arrive bien avant.

C’est ce moment où tu ressens :

une légère tension abdominale,

la diminution des signaux de faim,

et une sensation de satisfaction, de plaisir comblé.

Tu n’es pas lourd(e), juste apaisé(e).

Et pour ressentir ce point d’équilibre, il faut apprendre à te reconnecter à tes sensations physiques pendant le repas :

la texture, le goût, le plaisir.

Donne toi toujours la possibilité dans ta tête de faire une collation plus t**d si tu vois que tu n’as pas assez mangé à table.

✨ Manger moins sans se priver,

ce n’est pas se restreindre,

c’est apprendre à s’arrêter au bon moment.

💬 Et toi, tu sais reconnaître le moment où ton corps te dit “c’est assez” ?

Dis-moi en commentaire si c’est quelque chose que tu ressens facilement ou non 💛

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Place De La Croix
Villeneuve-lès-Avignon
30400

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Mardi 14:00 - 20:00
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