Eklosion D'Ame

Eklosion D'Ame Praticienne en Psychotraumatologie, Psychogénéalogie, Transmutation des mémoires cellulaires
Accompagnement psychocorporel

05/12/2025
03/12/2025

📢 Conférence exceptionnelle à Haguenau – Mardi 9 décembre à 19h30 !

Comment protéger nos enfants grâce au consentement ? 💬💛
Un sujet essentiel, qui sera abordé avec clarté et bienveillance lors d’une conférence animée par Pamela Geiregat, psychotraumatologue.

🗓 Le 9 décembre
📍 Salle M06 – Espace des Cordeliers, Haguenau
⏰ À partir de 19h30
🎟 Événement gratuit – Places limitées

👉 Inscription obligatoire : via67mm@mailo.com

Cette soirée est organisée par l’Association Victimes Inceste Alsace, engagée pour la protection et l’accompagnement des victimes.

Parce que parler du consentement dès le plus jeune âge, c’est déjà protéger. 💖
Partagez l’événement autour de vous !

Affiche créé par Mme Myriam Martz

02/12/2025
01/12/2025

🎬 DALVA - Un film essentiel sur l'inceste à voir sur ARTE
Disponible gratuitement jusqu'au 26/12/2025

L'histoire :
Dalva, 12 ans, est arrachée lors d'une descente de police à son père incestueux. Maquillée, apprêtée comme une femme, elle vivait séquestrée sous emprise totale. Placée en foyer, elle refuse d'abord son statut de victime et réclame "Jacques", son agresseur. Le film suit sa lente sortie de l'emprise et sa reconstruction.

Pourquoi le voir :
✅ Un portrait réaliste de l'emprise incestueuse
✅ La complexité du déni et de l'identification à l'agresseur
✅ Le chemin difficile vers la reconstruction
✅ Un travail d'enquête quasi-documentaire (immersion en foyer, collaboration avec police et justice)
✅ Une justesse et une délicatesse rares sur ce sujet

Un premier long métrage d'Emmanuelle Nicot (2021) dans la lignée des frères Dardenne.
⚠️ Film fort mais indispensable pour comprendre l'emprise et la reconstruction après l'inceste.
🎥 À voir gratuitement sur ARTE jusqu'au 26/12/2025

👉 https://www.youtube.com/watch?v=YJOQeLRcwqk

01/12/2025

Aux États-Unis, des documents judiciaires dévoilent comment Meta aurait systématiquement privilégié la croissance au détriment de la sécurité des enfants, dans le cadre d'un procès impliquant plus de 2 000 plaignants contre les géants des réseaux sociaux.

🔴 Instagram appliquait une politique permettant 16 violations avant suspension pour trafic sexuel, sans offrir de moyen simple de signaler les contenus pédocriminels.

🔴 Meta aurait caché ses études internes montrant le lien entre usage de ses plateformes et anxiété/dépression chez les ados. Une étude de 2019 démontrait que cesser d'utiliser Facebook/Instagram réduisait l'anxiété et la dépression, mais elle n'a jamais été publiée. En 2020, Meta a répondu "Non" au Sénat qui demandait si un tel lien existait.

🔴 Dès 2019, les chercheurs recommandaient de rendre les comptes ados privés par défaut, mais la mesure a été repoussée jusqu'en 2024 par crainte de perdre 1,5 million d'utilisateurs par an. Pendant ce temps, Meta générait 5,4 millions d'interactions non désirées par jour, et un audit de 2022 montrait que 1,4 million d'adultes potentiellement dangereux étaient recommandés à des ados quotidiennement.

🔴 Meta a agressivement poursuivi les jeunes utilisateurs, y compris les moins de 13 ans (interdits par la loi). Des documents révèlent 4 millions d'utilisateurs de moins de 13 ans sur Instagram.

🔴 58% des utilisateurs présentaient un usage "problématique" selon une étude interne de 2018, mais Meta n'a publié que le chiffre de 3,1% d'usage "sévère". Des fonctionnalités anti-addiction ont été abandonnées par crainte d'impact sur la croissance.

🔴 Meta ne supprimait pas automatiquement les contenus identifiés avec "100% de certitude" comme matériel pédocriminel ou contenus sur les troubles alimentaires. Plus de 8% des 13-15 ans ont vu de l'automutilation sur Instagram en une semaine (sondage 2021).

🔴 Meta conteste ces accusations, qualifiant les allégations de "citations sorties de contexte", et met en avant ses Teen Accounts lancés en 2024 avec protections intégrées. Les plaignants comparent la situation aux compagnies de tabac qui ciblaient délibérément les jeunes tout en connaissant les dangers.

Lire l'article publié sur le Monde le 25/11/2025
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2025/11/25/aux-etats-unis-facebook-et-instagram-accuses-de-multiples-negligences-vis-a-vis-des-mineurs_6654815_4408996.html

Lire l'article sur le time.com du 23/11/2025 : https://time.com/7336204/meta-lawsuit-files-child-safety/

28/11/2025
28/11/2025
Parce que sensibiliser au consentement est primordial.
26/11/2025

Parce que sensibiliser au consentement est primordial.

Le viol conjugal chez les adolescentes
« Si tu n’as pas envie, tu te forces, parce que moi j’en ai envie »
Une violence que l’on ne sait même pas nommer

Elles ont 14 et 16 ans. Elles sont en troisième, en lycée technologique ou à la fac. Elles croient vivre leur premier grand amour. En réalité, elles subissent des viols répétés de la part de leur compagnon. Et la plupart ne le comprennent que des années plus t**d.

Capucine : « Je devais être à sa disposition »

Capucine a 14 ans quand elle tombe follement amoureuse d’un garçon plus âgé, en internat à Saint-Nazaire. Les débuts sont idylliques. Puis la mécanique s’installe.
« Il ne supportait pas la frustration. Il me disait : “Si tu n’as pas envie, tu dois te forcer, parce que moi j’en ai envie.” »
Quand elle refuse, il boude pendant des heures, la menace de rompre, devient agressif. Il la punit : elle doit rester au pied du lit, sans oreiller, sans couverture, sans rien, jusqu’à ce qu’elle « change d’avis ».
« J’étais épuisée, je finissais toujours par céder pour avoir la paix. »
Trois ans durant, Capucine vit cela. Trois ans sans jamais entendre le mot « viol ». Pour elle, un viol, c’est une inconnue agressée la nuit dans une ruelle sombre. Pas son petit copain qui l’aime.
Même en pleine vague , elle ne fait pas le lien. Les campagnes de prévention montrent des femmes plus âgées, mariées, avec un œil au beurre noir. Rien qui ressemble à une ado en couple.

Clémentine : « Je me suis figée »

Le 4 décembre 2016, Clémentine a 16 ans. C’est son anniversaire. Son copain de 18 ans, avec qui elle est en relation à distance depuis cinq mois, vient enfin la voir. L’après-midi est parfait : marché de Noël, petits cadeaux, photos. Le soir, les parents partent travailler. Ils se retrouvent seuls.
Depuis des mois, il la presse : « Les couples, ça doit le faire. » Elle répète qu’elle n’est pas prête. Ce soir-là, il tranche : « On le fait. »
« Il a commencé à me déshabiller. Je me suis figée. Je n’ai pas bougé, j’ai eu très mal, j’étais comme hors de mon corps. »
Ensuite, elle se sent « extrêmement sale ». Elle reste une heure sous la do**he à se frotter. Au moment de dormir, elle se colle tout au bord du lit, le plus loin possible de lui.
Cette scène se répétera tout au long de leur relation d’un an. Clémentine la résume aujourd’hui d’une phrase qui glace le sang : « Un bouquet de fleurs pour une claque. »

Une violence que l’on ne sait pas voir

Une enquête du collectif NousToutes (février 2020, plus de 96 000 répondantes) est accablante : une femme sur six a fait ses premiers pas dans la sexualité par un rapport non désiré et non consenti.
Louise Delavier, directrice des programmes de l’association En avant toute(s), l’explique simplement :
« Les adolescentes sont particulièrement vulnérables. C’est souvent leur première relation, elles n’ont aucun repère sur ce qui est sain ou non. Tout ce que fait leur copain est vu comme normal, surtout s’il est plus âgé et a déjà eu des expériences. »

Sur le tchat anonyme « Comment on s’aime », les messages arrivent par centaines :
« Est-ce que c’est normal ce que je vis ? »
« Il dit que tous les couples font des fellations tous les matins, c’est vrai ? »
« Je finis toujours par accepter parce qu’il boude sinon, je suis trop sensible ? »
Les écoutantes posent alors les mots que les jeunes filles n’osent pas dire : viol, contrainte, chantage affectif, pression.

L’école absente

La loi du 4 juillet 2001 impose pourtant trois séances annuelles d’éducation à la vie affective et sexuelle dans tous les collèges et lycées.
Dans les faits ?
Clémentine : « J’ai eu un seul cours au collège : un prof a mis un préservatif sur une banane. Rien sur le consentement, rien sur le viol. »
C’est seulement des années plus t**d, lors d’un cours de psycho à l’université sur le viol conjugal, qu’elle a fondu en larmes et quitté la salle.

Les conséquences invisibles

Les séquelles sont immenses :

- Clémentine n’a plus approché un garçon pendant cinq ans. Au début de sa relation actuelle, elle paniquait dès qu’on la touchait.

- Capucine a mis des années à comprendre qu’elle n’était pas coupable.

Elles transforment leur douleur en lutte

Aujourd’hui, elles refusent le silence :

- Clémentine parcourt les lycées de son département pour parler consentement et violences. « Beaucoup de filles me demandent si ce qu’elles vivent est normal et si elles peuvent porter plainte. »

- Capucine anime le compte Instagram (près de 120 000 abonnés) avec des vidéos pédagogiques sur les violences sexuelles et la culture du viol.

Le consentement n’est pas négociable

Comme le dit Clémentine : « J’ai eu de la chance d’être tombée plus t**d sur un homme doux et patient. »
Avoir « de la chance » pour ne pas être violée par son compagnon.
Voilà où nous en sommes.

Tant qu’on continuera d’éduquer les filles à « faire plaisir » et les garçons à penser qu’un « non » est une invitation à insister, le viol conjugal restera cette violence ordinaire, quotidienne, qui détruit des milliers d’adolescentes avant même qu’elles entrent dans la vie adulte.

Il est urgent que l’école, les familles, les médias, la société entière cessent de fermer les yeux.
Le consentement enthousiaste n’est pas un luxe.
C’est un droit fondamental.
Et il commence dès le premier ba**er.

Ressources d’urgence

- Tchat « Comment on s’aime » (En avant toute(s)) : anonyme, gratuit – lundi-jeudi 10 h-minuit, vendredi-samedi 10 h-21 h

- Viols femmes info : 0 800 05 95 95 (anonyme et gratuit)

- Violences femmes info : 3919 (24 h/24, anonyme et gratuit)

Source : 20 minutes

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26/11/2025

💜 SVS Alsace sera présente lors de la soirée “Lutte contre les violences faites aux femmes” !
Dans le cadre de cette Journée internationale, l'ASLG Alsace, .alsace , en partenariat avec la Gendarmerie du Bas-Rhin, organise une soirée ouverte à toutes et tous autour de la protection et de la défense.

📅 Vendredi 28 novembre
🕕 17h30 – 20h45
📍 3 rue de Saales, Strasbourg

🥋🥊 Trois ateliers sportifs seront proposés : boxe, judo/taïso et self-défense, ainsi que des échanges avec la Gendarmerie sur les violences intrafamiliales et les dispositifs d’aide.

✨ L'association Stop aux Violences Sexuelles Alsace sera présente pour :
🔹 Présenter l’association
🔹 Parler de notre séjour thérapeutique pour victimes de violences sexuelles
🔹 Informer sur nos formations
🔹 Répondre à vos questions sur les violences sexuelles

Un moment pour s’informer, se soutenir et s’outiller ensemble.
📧 Évènement gratuit sur inscription : aslga.secretariat@gmail.com

22/11/2025
22/11/2025

📣 Conférence-débat : Comprendre le consentement
📅 Mardi 25 novembre 2025 – 20h
📍 La NEF, Wissembourg
Organisée par l'AGF de Wissembourg, animée par SVS Alsace.

💬 Une soirée essentielle autour d’un sujet qui nous touche toutes et tous : le consentement.
Parce que dire oui, dire non, comprendre, respecter… ce n’est jamais si simple — et pourtant c’est fondamental.
✨ Au programme :
✔ Qu’est-ce que le consentement ?
✔ Pourquoi est-il central dans nos relations ?
✔ Comment mieux le comprendre, l’expliquer, le transmettre ?
🎟 Entrée libre et ouverte à toutes et tous.
Venez écouter, échanger, poser vos questions… et contribuer à une culture du respect.

Vous ne pouvez pas être présent ? Partagez c'est également participer 🙏

Quand la sensibilisation aux violences vient s'installer au petit déj
20/11/2025

Quand la sensibilisation aux violences vient s'installer au petit déj

Plusieurs préfectures ont annoncé la distribution de cet outil de prévention à l'occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes.

Adresse

3 Rue De La Chapelle
Wasselonne
67310

Téléphone

+33782289608

Site Web

https://linktr.ee/eklosiondame

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