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L’hypoglycémie est une urgence vitale fréquente pour le secouriste, alors que l’hyperglycémie impose surtout une surveil...
03/12/2025

L’hypoglycémie est une urgence vitale fréquente pour le secouriste, alors que l’hyperglycémie impose surtout une surveillance et un avis médical rapide.​

Rappels simples

Hypoglycémie :

Baisse du sucre sanguin, souvent chez un diabétique traité, donnant faim, sueurs, tremblements, troubles du comportement, voire coma.​

signes d’alerte

faim brutale, pâleur, sueurs froides, tremblements, agressivité ou confusion, parfois troubles de la parole.​
convulsions, troubles de la conscience jusqu’au coma, détresse vitale car le cerveau manque de glucose.​

conduite secouriste:

Protéger, interroger l’entourage, rechercher la carte de diabétique, un lecteur de glycémie ou de l’insuline.​

Si la victime est consciente et peut avaler : donner rapidement du sucre à absorption rapide (boisson sucrée, morceaux de sucre, jus), puis surveiller l’amélioration.​

Hypoglycémie grave
Si la victime est confuse, convulse ou inconsciente : ne rien donner par la bouche, placer en PLS, contrôler la respiration et alerter immédiatement les secours.

L’injection de glucagon ou le resucrage intraveineux restent du ressort des secours médicalisés ou de la victime formée, pas du secouriste de base.​

Hyperglycémie :

Excès de sucre, avec soif intense, urines abondantes, fatigue, douleurs abdominales, pouvant évoluer vers un coma hyperglycémique.​

SIgnes et risques:

Soif intense, bouche sèche, besoin d’uriner fréquent, fatigue, nausées, douleurs abdominales, respiration profonde, haleine fruitée en cas de décompensation acido-cétosique.​

L’installation est souvent plus progressive que pour l’hypoglycémie, mais le risque est un coma hyperglycémique nécessitant une prise en charge hospitalière.​

Conduite secouriste:

Installer la victime au repos, surveiller la conscience, la respiration, rechercher son traitement et son lecteur de glycémie, et faire alerter un médecin ou les secours selon les protocoles.​

Ne jamais injecter d’insuline ni modifier un traitement : le rôle du secouriste est la surveillance, le soutien, l’hydratation orale si la personne est vigilante, et la transmission d’informations aux secours.​

Devant un malaise chez un diabétique, si le doute persiste entre hypo et hyperglycémie, la priorité reste l’appel précoce aux secours et la surveillance constante des fonctions vitales.​

La formation permet d’acquérir les bons réflexes :
reconnaître les signes, sécuriser la victime, donner du sucre uniquement si elle est consciente et transmises toutes les informations utiles aux secours.

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02/12/2025

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Profitez de notre prix exceptionnel de fin d’année : 2000 DT au lieu de 2560 DT pour devenir formateur certifié FRTI.​

📅 Dates au choix :

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La sophrologie et la plongée sous-marine sont deux approches complémentaires puissantes pour la santé mentale et la gest...
26/11/2025

La sophrologie et la plongée sous-marine sont deux approches complémentaires puissantes pour la santé mentale et la gestion du stress. La sophrologie utilise la respiration contrôlée, la relaxation musculaire, la concentration et la visualisation positive pour apaiser le corps et l'esprit, réduire les tensions physiques et mentales, et favoriser un meilleur équilibre émotionnel. Cette méthode aide à diminuer le stress, l'anxiété et à améliorer la qualité du sommeil grâce à un recentrage sur le moment présent et un relâchement des tensions accumulées.

La plongée sous-marine, quant à elle, favorise une respiration lente et rythmée similaire aux techniques méditatives utilisées en sophrologie. Le plongeur apprend à contrôler sa respiration, ce qui induit un état de calme profond. L'environnement sous-marin procure une sensation de légèreté et de flottement qui aide à réduire le stress et l'anxiété. De plus, la plongée invite à une pleine conscience de l'instant présent grâce à l'attention portée à l'environnement marin, ce qui contribue à détacher l'esprit des pensées anxiogènes.

Associées, sophrologie et plongée forment un protocole bénéfique pour renforcer la résilience émotionnelle et gérer efficacement le stress, y compris dans des situations de stress post-traumatique. Les exercices de sophrologie avant et après la plongée maximisent les effets relaxants en prolongeant un état de sérénité, en activant le système nerveux parasympathique, et en facilitant une gestion plus sereine des émotions. Cette combinaison est une approche holistique et non médicamenteuse, bénéfique pour la santé mentale et la qualité de vie.

En résumé, la sophrologie offre des outils de relaxation et de gestion émotionnelle qui, associés à la plongée sous-marine, exploitent la respiration contrôlée, la pleine conscience et un environnement apaisant, pour réduire significativement le stress et renforcer la santé mentale globale.

Les écharpes, contre-écharpes et écharpes obliques : tu connais la différence ?En premiers secours, ces techniques sont ...
26/11/2025

Les écharpes, contre-écharpes et écharpes obliques : tu connais la différence ?
En premiers secours, ces techniques sont super utiles pour immobiliser un bras ou une épaule en cas de blessure !
👉 L’écharpe maintient le bras contre le thorax.
👉 La contre-écharpe sert à renforcer la fixation ou à adapter aux blessures spécifiques.
👉 L’écharpe oblique, c’est l’astuce pour soutenir le bras quand l’écharpe classique ne suffit pas.
Petit rappel : une bonne immobilisation, c’est du confort en plus et des complications en moins !
Besoin d’apprendre les bons gestes ? Nos formations sont là pour toi !

L’épilepsie est une maladie neurologique fréquente, non contagieuse, qui se manifeste par la répétition de crises dues à...
25/11/2025

L’épilepsie est une maladie neurologique fréquente, non contagieuse, qui se manifeste par la répétition de crises dues à une activité électrique anormale du cerveau. Une bonne information permet de corriger les idées reçues et d’appliquer les bons gestes de secours en cas de crise.​

Comprendre l’épilepsie
L’épilepsie touche environ 50 millions de personnes dans le monde et peut débuter à tout âge. Elle se définit par au moins deux crises non provoquées, séparées dans le temps, ou par une crise avec un risque élevé de récidive.​

Toutes les crises ne ressemblent pas aux « grandes convulsions » impressionnantes vues dans les films. Il existe de nombreux types de crises : absences (regard fixe, personne « déconnectée »), crises focales avec gestes automatiques, crises généralisées avec chute et secousses, etc.​

Idées reçues fréquentes
« L’épilepsie est contagieuse » : c’est faux, c’est une maladie du cerveau, pas une infection.​

« Toutes les personnes épileptiques convulsent et tombent » : faux, beaucoup de crises sont discrètes (regard dans le vide, gestes répétitifs, confusion brève).​

« On peut avaler sa langue pendant une crise » : on ne peut pas avaler sa langue, tenter de maintenir la langue ou mettre un objet dans la bouche peut casser les dents ou la mâchoire.​

« Épilepsie = handicap intellectuel ou maladie mentale » : la majorité des personnes épileptiques ont une intelligence normale et mènent des vies actives (études, travail, sport).​

« L’épilepsie ne se soigne pas » : avec un traitement adapté, environ 70% des patients peuvent vivre sans crise ou presque.​

Ce qu’il ne faut surtout pas faire pendant une crise
Pendant une crise convulsive généralisée (chute, raideur puis secousses, perte de connaissance), certains gestes traditionnels sont dangereux.​

Ne pas retenir de force la personne ni bloquer ses mouvements, cela augmente les risques de blessures.​

Ne rien mettre dans la bouche : ni cuillère, ni tissu, ni doigts, ni médicaments ; cela peut provoquer fractures dentaires, étouffement ou blessures graves.​

Ne pas donner à boire, à manger ou de comprimés tant que la personne n’est pas totalement réveillée.​

Ne pas pratiquer de bouche-à-bouche pendant la crise : la respiration reprend généralement spontanément à la fin.​

Bons gestes de prise en charge (crise convulsive)
Pour une crise tonico-clonique généralisée (la forme la plus spectaculaire) :​

Protéger

Rester calme et rester avec la personne.​

Éloigner les objets dangereux (meubles, coins de table, outils…) et, si possible, mettre quelque chose de souple sous la tête (veste pliée, sac).​

Desserrer ce qui gêne la respiration (col, cravate, foulard).​

Surveiller

Noter l’heure de début de la crise pour connaître sa durée.​

Observer les signes : mouvements, couleur de la peau, respiration, éventuelles blessures, présence d’un bracelet ou d’une carte « épilepsie ».​

Position latérale de sécurité après la crise

Quand les secousses s’arrêtent, mettre la personne en position latérale de sécurité (sur le côté, tête en arrière) pour dégager les voies aériennes et laisser s’écouler la salive ou d’éventuels vomissements.​

Rester à côté, parler calmement, expliquer ce qui s’est passé ; la personne est souvent confuse, épuisée, parfois avec maux de tête.​

Quand appeler les secours d’urgence
Un appel au SAMU / urgence est nécessaire dans les situations suivantes :​

Crise qui dure plus de 5 minutes ou crises qui se répètent sans reprise complète de conscience (risque d’état de mal épileptique).​

Première crise connue, doute sur un antécédent d’épilepsie, ou crise chez la femme enceinte, le nourrisson, la personne âgée fragile.​

Blessure grave (traumatisme crânien, chute importante, brûlure, noyade ou quasi-noyade).​

Difficultés respiratoires persistantes ou si la personne ne reprend pas conscience quelques minutes après la fin des secousses.​

Crises « discrètes » : comment réagir
Pour les absences ou crises focales sans chute (regard fixe, gestes automatiques, confusion) :​

Rester à côté, parler doucement, guider la personne loin de tout danger (escaliers, route, machines).​

Ne pas forcer, ne pas secouer, ne pas donner de nourriture ou boisson pendant la crise.​

Une fois la conscience revenue, vérifier si la personne a besoin de s’asseoir, d’être accompagnée, ou d’un avis médical.​

Vie quotidienne et sécurité
Avec un traitement bien suivi, la plupart des personnes peuvent étudier, travailler, avoir une vie sociale et sportive normale, en adaptant certaines activités à leur risque de crise.​
Les précautions concernent surtout les situations où une perte de conscience serait très dangereuse : travail en hauteur, conduite automobile selon la législation, baignade seul, utilisation de machines ou outils dangereux, sports extrêmes sans encadrement.​

Un suivi régulier par un neurologue, l’observance du traitement et l’information de l’entourage (famille, collègues, enseignants) sur les bons gestes sont essentiels pour réduire les crises et sécuriser le quotidien.



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🧠 Santé mentale : brisons les idées reçues !La santé mentale concerne tout le monde, pas seulement ceux qui vivent avec ...
25/11/2025

🧠 Santé mentale : brisons les idées reçues !

La santé mentale concerne tout le monde, pas seulement ceux qui vivent avec un trouble. C’est possible de bien vivre, d’apprendre à gérer ses émotions et de demander de l’aide quand on en a besoin.

🌱 3 idées fausses à déconstruire :

« Les problèmes de santé mentale ne me concernent pas » — Faux ! Chacun traverse des moments difficiles.

« Suivre une thérapie, c'est être faible » — Faux ! Parler à un professionnel est un signe de courage.

« On doit être heureux tout le temps » — Faux ! Le bonheur n’est pas permanent.

🤝 Conseils simples :

Parler, écouter, et soutenir autour de soi

N’hésitez pas à consulter, c’est une démarche normale et constructive.

Ensemble, prenons soin de notre santé mentale !

Un accident vasculaire cérébral (AVC) est une interruption brutale de la circulation sanguine dans le cerveau, provoquan...
24/11/2025

Un accident vasculaire cérébral (AVC) est une interruption brutale de la circulation sanguine dans le cerveau, provoquant la mort des cellules cérébrales. On distingue principalement deux types : l’AVC ischémique, causé par un caillot obstruant un vaisseau, et l’AVC hémorragique, dû à la rupture d’un vaisseau. Chaque année, environ 15 millions de personnes dans le monde sont victimes d’un AVC, avec 5 millions de décès et 5 millions de personnes handicapées à vie. L’AVC constitue la deuxième cause majeure de mortalité et la première cause de handicap acquis globalement.

Pour les proches, reconnaître un AVC rapidement est crucial car chaque minute perdue provoque la mort de millions de neurones. Les signes d’alerte doivent s’apprendre et s’observer avec attention selon le test VITE :

Visage : vérifier une asymétrie faciale, un affaissement d’un côté en demandant à la personne de sourire

Inertie ou faiblesse : demander à lever les deux bras, si un bras retombe ou est faible, c’est un signe d’alerte

Trouble de la parole : difficultés à parler, paroles confuses, ou incapacité à répéter une phrase simple

Extrême urgence : appeler immédiatement les services d’urgence sans attendre, car le temps est un facteur clé

D’autres symptômes peuvent inclure une perte soudaine de vision d’un œil, des vertiges, une perte d’équilibre ou une céphalée intense inhabituelle.

La prise en charge médicale rapide inclut un diagnostic par imagerie cérébrale, suivi d’un traitement adapté. Pour l’AVC ischémique, la thrombolyse intra-veineuse est efficace si réalisée dans les 4h30 après le début des symptômes, et la thrombectomie mécanique peut être pratiquée jusqu’à 6 à 24 heures selon les cas pour retirer le caillot. L’AVC hémorragique nécessite souvent un contrôle de la pression artérielle et une chirurgie dans certains cas. Le patient est ensuite dirigé vers une unité neurovasculaire pour une prise en charge spécialisée et une rééducation visant à limiter les séquelles.

Informer et former les proches pour reconnaître un AVC et agir vite augmente considérablement les chances de survie et de récupération du patient. Ce savoir est essentiel face à une maladie qui touche une personne toutes les 3 secondes dans le monde et qui nécessite une réponse d’urgence immédiate.



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CRISE CARDIAQUE HOMME VS FEMMELes différences hommes-femmes dans la crise cardiaque : un véritable enjeu pour le secouri...
16/11/2025

CRISE CARDIAQUE

HOMME VS FEMME

Les différences hommes-femmes dans la crise cardiaque : un véritable enjeu pour le secouriste
La crise cardiaque n’épargne aucun sexe, mais l’expression de la maladie, ses symptômes et même la prise en charge présentent de notables différences entre femmes et hommes. Ces disparités ont un impact crucial sur la reconnaissance de l’urgence et le pronostic vital.

Symptômes atypiques et discrets chez la femme
Contrairement à l’image classique véhiculée dans les formations ou le grand public — douleur thoracique intense irradiant vers le bras gauche, typique chez l’homme —, chez la femme, la symptomatologie est souvent bien plus trompeuse :

Douleur thoracique atténuée, diffuse ou même absente, pouvant s’apparenter à une gêne, une oppression ou une simple lourdeur.

Douleurs pouvant se manifester dans le haut du dos, la mâchoire, le cou, l’abdomen ou l’estomac, parfois sous forme de sensation de brûlure ou d’indigestion.

Fatigue inexpliquée, parfois survenant plusieurs jours ou semaines avant la crise, souvent associée à un épuisement intense ou une sensation de malaise global.

Essoufflement à l’effort ou au repos, palpitations, sueurs froides, nausées et vomissements, parfois même impression d’angoisse ou de vertige.

Signes digestifs récurrents, sensation de satiété, indigestion, brûlures d’estomac, et parfois perte d’appétit.

À noter : il peut y avoir des signes avant-coureurs, parfois présents plusieurs jours : troubles du sommeil, engourdissement, douleurs inhabituelles dans les membres ou troubles digestifs chroniques.

Re**rd diagnostique et morbi-mortalité accrue
Cette « subtilité » des signes est responsable d’un re**rd fréquent dans la demande d’aide et dans la prise en charge médicale des femmes. Nombreuses sont celles qui sous-estiment leurs symptômes, les attribuent à d’autres causes ou attendent que cela passe.

Les conséquences sont graves : les femmes arrivent souvent plus tardivement à l’hôpital, avec des lésions cardiaques déjà avancées. Leur risque de complications sévères (défaillance cardiaque, troubles du rythme) et de décès après une crise cardiaque reste plus élevé, même à âge et facteurs de risque équivalents.

Facteurs de risque et physiopathologie spécifique
Certaines maladies touchent plus spécifiquement les femmes : microvascularopathie coronaire, vasospasmes, et la maladie coronaire « non-obstructive » qui peut occasionner des infarctus sans atteinte visible à la coronarographie.

Les facteurs hormonaux jouent aussi un rôle important — le risque s’accroît nettement après la ménopause. Des maladies associées comme le diabète, l’hypertension artérielle, le stress chronique, la prise de pilule contraceptive ou encore l’obésité augmentent aussi l’incidence et la gravité des crises cardiaques féminines.

Biais de perception et enjeu de formation
Historiquement, la recherche et la communication médicale se sont majoritairement concentrées sur les symptômes masculins. Résultat : dans l’inconscient collectif — y compris chez certains professionnels — le risque cardiaque chez la femme est sous-évalué. Selon plusieurs études, les femmes reçoivent aussi moins fréquemment les gestes de premiers secours en cas d’arrêt cardiaque, du fait de stéréotypes et d’une reconnaissance moindre des symptômes.

Points de vigilance pour les secouristes professionnels
Toujours interroger sur l’existence de douleurs inhabituelles, même non thoraciques, et rester attentif à toute forme de malaise inexpliqué chez les femmes adultes, surtout si associées à essoufflement ou sueurs froides.

Ne pas écarter une cause cardiaque face à des symptômes digestifs, un épuisement ou un inconfort généralisé, notamment chez les patientes à risque.

Prendre en charge immédiatement toute suspicion de crise cardiaque, avec les protocoles classiques (alerte, mise au repos, monitoring, appel aux secours, défibrillation si arrêt cardiaque).

Sensibiliser le grand public et les équipes à la diversité des signes chez la femme pour réduire les délais d’alerte et améliorer le pronostic.

Conclusion pratique
Ces différences entre hommes et femmes face à la crise cardiaque nécessitent un changement de paradigme chez les secouristes. La vigilance accrue, l’écoute fine des symptômes et la formation continue à la reconnaissance des tableaux atypiques sont vos meilleurs outils pour sauver des vies féminines aussi efficacement que masculines.

13/11/2025
13/11/2025
Venez nous rencontrer et discuter avec nous. Nous vous attendons avec impatience.
02/01/2025

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L’événement incontournable de la plongée sous-marine revient à Paris !

01/01/2025

Bonne Année 2025 ! International First Aid and Security Training31 Décembre 2024 Chers amis, partenaires, et aventuriers du quotidien, Il paraît qu’en 2024, on a beaucoup bossé, beaucoup ri (parfois jaune), et parfois couru après le temps… Alors pour 2025, toute l’équipe de IFAST Consult...

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