Hyp'yourself

Hyp'yourself Hyp'Yourself c'est de la préparation mentale, des formations en développement personnel, et bientôt une plateforme d'auto Hypnose en ligne pour sportifs.

Après une carrière de plus de 13 ans dans le cinéma d’animation, de coloriste à chef de projet, Nathalie à eu l’appel du changement. Ce changement allait commencer par elle-même. Grâce à la sophrologie et la PNL, Nathalie travaille sur ses croyances, ses limitations et sa colère bien installée et constate en quelque temps d’énormes améliorations dans sa vie et son rapport aux autres. Elle décide alors de se former auprès d’un des chercheurs reconnu en Neurosciences, David Lefrançois à l’Institut des Neurosciences appliquées (INA) ainsi qu’en PNL à France PNL à Paris. Fort de ce savoir riche et transformateur, elle a eu à cœur de le transmettre et de le partager à son tour. En 2009 elle crée sa première société en France avec laquelle elle accompagne notamment un réseau d’indépendants experts comptables (Cabex) pour leur développement commercial. Ses compétences se trouvent aussi mises à profit dans le management d’équipe et de projet dans le secteur de l’animation sur des coproductions internationales. Elle rejoint en 2019 l’actionnariat d’un centre de formation professionnelle à Luxembourg et y dispense des formations et du coaching sous le label Hyp’yourself. En 2021, elle fonde la société du même nom à Luxembourg. Sportive depuis toujours, Nathalie co fonde la FLMMA et obtient son diplôme d’état de coach de boxe mais surtout utilise le coaching et la préparation mentale dans l’accompagnement des sportifs vers les plus hautes marches du podium dans des événements internationaux. Pendant la crise sanitaire, Nathalie est invitée à intervenir sur des programmes de coaching et de soutien auprès des jeunes et accompagne encore les adolescents dans leur développement et compréhension du monde au sein de l’Ecole Européenne et d’autres projets comme Develop’Yourself en direction des maisons de jeunes. Les notions de performance, d’engagement et de dépassement l'amènent naturellement à accompagner des entrepreneurs, des managers, des porteurs de projets. Elle n’a de cesse de continuer à apprendre et à se former afin d’étoffer sa boîte à outils. Nathalie est certifiée en Hypnose Thérapeuthique auprès de la National Guilde of Hypnotists (NGH), certifiée Coach Consultant Formateur, Master Coach, et Master Coach en coaching entrepreneurial (Neuro Business School Paris). Elle est également praticienne en EFT (Emotional Freedom Technique), en sophrologie, ennéagramme et hypnose conversationnelle. Aujourd’hui avec Hyp’Yourself elle poursuit sa vision avec passion : Accompagner les personnes à découvrir et vivre leur plein potentiel.

Demain, j’aurai le plaisir d’officier en tant qu'officiel  lors de l’événement >> SOKO FC 5
13/12/2025

Demain, j’aurai le plaisir d’officier en tant qu'officiel lors de l’événement >> SOKO FC 5

Soko Fighting Championship 5
Luxembourg’s number one MMA organization finally returns at Den Atelier!
Get ready for an action-packed night of pure combat energy as Luxembourg hosts one of its most electrifying mixed martial arts events to date!

With over 10 adrenaline-pumping amateur fights, the stage is set for promising young talents to showcase their skill, hunger, and heart as they battle to make their mark. These rising warriors are stepping into the cage with everything to prove—and nothing to lose.

For the very first time, junior MMA fights for athletes under the age of 18 will take place inside the octagon. Special rules will be applied for the safety of the young fighters, such as no strikes or kicks to the head.

The complete amateur fight card will feature many local fighters representing different teams from Luxembourg, as well as competitors from France, Belgium, and other countries.

But that’s not all. The spotlight intensifies with high-level professional bouts, featuring experienced up-and-comers determined to climb the ranks, standing shoulder to shoulder with seasoned veterans ready to show they still dominate the jungle. Expect grit. Expect power. Expect moments that will have the entire arena on its feet.

Headlining the night is Edvin Abbasov, a seasoned fighter from Azerbaijan, against Aleksandr Krupenkin from Ukraine, who has competed in many organizations around the globe.

The action continues with a stacked lineup:

Luan Shaka steps in against the young and hungry German prospect Mathis Bruns.

Kamouze Lionel of France faces off with the dangerous Kasumyan Davit.

And a guaranteed barnburner between PFL veteran Brice Belghazi and Smain Ouargli.

The final fight card will be released in the coming days—stay tuned.

This is MMA at its finest.
This is where futures are forged and legends are born.
Don’t blink.
You won’t want to miss a second.

L’effet de compensation morale : quand “faire le bien” nous autorise à faire moins juste.L’effet de compensation morale ...
13/12/2025

L’effet de compensation morale : quand “faire le bien” nous autorise à faire moins juste.

L’effet de compensation morale décrit un mécanisme très humain : après avoir fait quelque chose que nous jugeons “bien”, nous nous sentons inconsciemment autorisés à faire quelque chose de moins aligné… voire de contraire.

Comme si notre cerveau tenait une comptabilité morale.
👉 J’ai été patient aujourd’hui, je peux me permettre d’être dur maintenant.
👉 J’ai aidé quelqu’un, je peux m’oublier ou me trahir un peu.
👉 J’ai fait un effort, je peux lâcher ailleurs.

Ce mécanisme est discret et puissant.
Il donne bonne conscience tout en nous éloignant de ce qui est juste pour nous.
Le problème, ce n’est pas de faire le bien ou pas, c’est de s’en servir comme alibi pour éviter la cohérence intérieure.

On le retrouve partout :
▪ dans les relations (je supporte trop, puis j’explose),
▪ dans le travail (je donne beaucoup, puis je me désengage),
▪ dans le développement personnel (je “travaille sur moi”, donc je n’ai plus à me remettre en question),
▪ dans l’aide aux autres (je sauve, donc je n’ai pas à me respecter).

La compensation morale permet de ne pas regarder un désalignement plus profond.

Elle évite une vraie question : “Est-ce que ce que je fais est juste… ou simplement compensatoire ?” ❓

Ce mécanisme n’est ni bon ni mauvais.

Il devient problématique quand il nous maintient dans des cycles :
effort → relâchement inconscient
bonté → rigidité
sacrifice → ressentiment

La vraie maturité ne consiste pas à “faire le bien”, elle consiste à être cohérent.
Et c’est souvent là que commence un vrai travail intérieur : repérer quand on agit pour se rassurer moralement, plutôt que par choix conscient et aligné.

Quand on cesse de compenser, on n’a plus besoin de se justifier.
On agit depuis un axe plus calme, plus stable, plus juste.

❓L’as-tu déjà remarqué dans ton quotidien ? Observe 👀

La Pitié dangereuse : quand vouloir “bien faire” abîme tout.La Pitié dangereuse de Stefan Zweig raconte l’histoire d’un ...
12/12/2025

La Pitié dangereuse : quand vouloir “bien faire” abîme tout.

La Pitié dangereuse de Stefan Zweig raconte l’histoire d’un jeune officier qui, par culpabilité et par sens du devoir, se met à “aider” une jeune femme handicapée.

Il ne l’aime pas. Il n’est pas prêt. Il ne sait pas dire non.

Alors il fait ce que beaucoup font :
Il compense, il protège, il rassure… sans jamais avoir le courage de dire la vérité.
Et c’est là que tout dérape.

Zweig nous montre avec une précision chirurgicale que la pitié n’est pas de la bonté.
La pitié, c’est :

▪️ vouloir éviter le malaise,
▪️ vouloir apaiser sa propre culpabilité,
▪️ vouloir paraître “gentil”,
▪️ vouloir sauver quelqu’un… pour finalement l’enfermer.

Dans le roman, cette pitié devient un poison.

Elle prive l’autre de sa dignité, de sa force, de sa capacité de grandir.
Elle transforme la relation en dépendance.
Et elle finit en catastrophe.

Pourquoi ?

Parce que la pitié n’est PAS un acte d’amour.
C’est un acte d’évitement.

Et je retrouve souvent ce scénario dramatique en consultation :
les personnes qui veulent trop aider, trop sauver, trop protéger…
par pitié - n’osent pas dire ce qu’elles pensent vraiment.
Elles se perdent.
Elles empêchent l’autre de se construire.
Et elles s’enferment dans des émotions qui ne leur appartiennent pas.

Dans Continuum Coaching, on fait l’inverse :
▪️ on apprend la présence plutôt que la pitié,
▪️ la clarté plutôt que la protection,
▪️ la responsabilité plutôt que la culpabilité,
▪️ la force intérieure plutôt que l’effacement.

C’est ce que Zweig raconte à travers la tragédie de Hofmiller :
quand on n’ose pas être vrai, on crée de faux liens, et ces faux liens finissent toujours par casser.

🔥 La vérité ne blesse jamais autant que l’illusion.
Et la présence - la vraie - est la seule manière d’honorer l’autre sans le diminuer.

« Porter la liberté est la seule charge qui redresse bien le dos. » Cette phrase de Patrick Chamoiseau dit quelque chose...
04/12/2025

« Porter la liberté est la seule charge qui redresse bien le dos. »

Cette phrase de Patrick Chamoiseau dit quelque chose de simple et de bouleversant : la vraie liberté n’allège pas… elle redresse.

On croit souvent que la liberté, c’est tout lâcher, tout poser, tout abandonner.

Chamoiseau nous rappelle que la liberté est une responsabilité : celle de se choisir soi, de marcher droit dans sa propre direction, et d’assumer ce qui fait sens. Libre de choisir nos contraintes.

La liberté n’est pas un poids de plus. C’est un axe.
Ce qui nous écrase, ce n’est jamais la liberté.

C’est tout le reste : les attentes des autres, mais aussi les nôtres, les rôles forcés, les anciennes obligations, les loyautés invisibles, les habitudes qui ne nous ressemblent plus.

Dès qu’on retire ces charges-là, le corps respire.
Le dos se déploie.
L’être se relève.

Et quand on porte enfin ce qui est à nous, seulement à nous… ce n’est plus un fardeau : c’est un alignement.

Et c’est exactement ce que l’on explore dans Continuum.

Continuum, c’est un espace pour déposer les poids qui courbent l’âme : les anciens réflexes, les discours intérieurs hérités, les obligations inconscientes, les directions prises par réflexe plus que par désir.

On y réapprend à reconnaître ce qui est à porter - parce que ça nous élève ; et ce qui est à laisser - parce que ça nous écrase.

Quand on retrouve sa propre verticalité, quelque chose change :
✨ les décisions deviennent plus simples,
✨ les choix plus clairs,
✨ le mouvement plus naturel.

Porter la liberté, ce n’est pas se libérer de tout.
C’est se libérer de ce qui n’est pas soi. 🔥

Pourquoi la distraction est-elle devenue si prépondérante dans notre culture ?Parce qu’elle est confortable.Parce qu’ell...
28/11/2025

Pourquoi la distraction est-elle devenue si prépondérante dans notre culture ?

Parce qu’elle est confortable.
Parce qu’elle évite les silences, les questions, les élans, les décisions difficiles.
Parce qu’elle permet de ne pas se regarder.
Parce qu’elle nous offre l’illusion d’être « pleins » alors qu’on est simplement saturés.

La culture d’antan cherchait à transmettre, à élever, à éveiller.
Une partie de la culture d’aujourd’hui cherche surtout à capter, retenir, distraire.

Nous avons glissé sans nous en rendre compte.
La distraction est devenue un mode de vie.

Et c’est précisément là que Continuum intervient
Dans Continuum, on apprend à sentir le moment exact où l’on quitte l’attraction pour tomber dans la distraction.

On apprend à remarquer :
- quand l’on s’éloigne de soi,
- quand l’on fuit une émotion,
- quand l’on cherche à occuper l’esprit plutôt qu’à l’habiter,
- quand l’on remplace le vivant par le facile.

Continuum n’est pas un programme pour devenir « discipliné ».
C’est un espace pour revenir vers ce qui attire vraiment, ce qui nourrit, ce qui aligne, ce qui réveille la présence.

On y réapprend à reconnaître :
- le mouvement juste,
- la direction qui fait sens,
- la simplicité du réel,
- la force du choix conscient.

L’essentiel est simple :
Chaque fois que je me distrais… Je m’éloigne. 🫣
Chaque fois que je me recentre … Je reviens. 😌
Et entre les deux, il y a l’espace où tout peut se transformer.✨

La distraction : l’art de s’éloigner de ce qui compte vraiment.On parle beaucoup de distraction comme d’un simple divert...
27/11/2025

La distraction : l’art de s’éloigner de ce qui compte vraiment.

On parle beaucoup de distraction comme d’un simple divertissement.
Mais si l’on regarde le mot de plus près, quelque chose apparaît : dis-traction = ce qui nous tire loin.
Loin de quoi ?

De ce qui est essentiel, de ce qui demande de l’attention, de ce qui pourrait nous rapprocher de nous-mêmes.

Face à elle, il existe son opposé naturel : at-traction = ce qui nous tire vers.
Vers ce qui est juste, vivant, nourrissant, aligné.

Et pourtant, dans notre culture moderne, ces deux mouvements se sont inversés.
La distraction est devenue une norme.
Elle est partout, accessible, séduisante, instantanée.
Elle porte même l'apparence de la « culture » : séries, informations continues, contenus qui se succèdent…

Autrefois, la culture élargissait l’esprit.

Aujourd’hui, une partie d’elle sert surtout à l’occuper.

Ce n’est pas un problème en soi.
Le vrai danger, c’est de ne plus remarquer quand on glisse de l’attraction vers la dis-traction.

Comment reconnaître qu’on est en train de s’éloigner ?
On le sent dans le corps :
un léger voile mental,
une perte de présence,
une agitation molle,
un automatisme qui s’installe,
des micro-fuites d’énergie.

C’est ce moment où l’on scrolle sans savoir pourquoi.
Où l’on ouvre une application « juste deux minutes ».
Où l’on se lance dans une activité qui ne nourrit rien, mais remplit tout.

La distraction anesthésie le ressenti.

Elle crée un espace entre soi et ce qui compte.
Elle occupe pour ne pas confronter.
Elle éloigne pour ne pas choisir.
C’est une fuite douce. Une fuite socialement validée.
A suivre….

Que faire de ce qu’on a fait de moi ?C’est une question que beaucoup portent en silence.Elle revient dans les moments ch...
27/11/2025

Que faire de ce qu’on a fait de moi ?

C’est une question que beaucoup portent en silence.

Elle revient dans les moments charnières, dans les transitions, dans les remises en question.

Elle naît quand on sent que quelque chose en nous ne nous appartient plus vraiment : des réflexes, des peurs, des croyances, des manières d’être qui sont devenues automatiques… mais qui ne sont pas toujours nous.

Car oui : une partie de ce que nous sommes aujourd’hui est le résultat de ce que la vie, les autres, l’enfance, l’école, nos relations ou nos épreuves ont fait de nous.
Des traces, des couches, des protections, des habitudes.

Mais alors… que faire de tout cela ?

La première tentation, c’est de vouloir s’en débarrasser comme d’un vieux bagage.
Mais c’est souvent impossible. Et surtout, ce n’est pas nécessaire.

La vraie transformation commence le jour où l’on décide de regarder ce qu’on a reçu, non plus comme un fardeau, mais comme une matière.

Quelque chose avec laquelle travailler, composer, sculpter.
Une matière brute, née d’une histoire qui parfois nous dépasse, mais qui peut devenir un matériau de création personnelle.

Ce qu’on a fait de moi n’est pas une prison.
C’est un point de départ.

À partir de là, une autre question se pose : qu’est-ce que moi, je choisis d’en faire maintenant ?

Et c’est précisément le cœur du travail dans Continuum.
Dans Continuum, on ne cherche pas à effacer le passé, à lutter contre son histoire ou à devenir quelqu’un d’autre.

On apprend à relire, à réinterpréter, à réorganiser, à redonner un sens plus juste à ce que la vie a gravé en nous.

On transforme les anciennes réactions en choix conscients.
On convertit les cicatrices en ressources.
On réinstalle du mouvement là où il y avait des automatismes.

Ce qu’on a fait de moi… je n’en suis pas prisonnier.
Je peux en faire une force, une intelligence, une direction.

Et c’est là que le chemin devient enthousiasmant : ce que la vie a écrit pour moi, je peux désormais l’écrire avec elle.

J’ai lu que le bonheur, c’est la réalité moins les attentes.Et plus j’accompagne des personnes, plus je vois à quel poin...
25/11/2025

J’ai lu que le bonheur, c’est la réalité moins les attentes.

Et plus j’accompagne des personnes, plus je vois à quel point cette formule dit quelque chose de profond :
Ce ne sont pas les situations qui nous font souffrir… ce sont les scénarios que l’on avait construits autour d’elles.

Nous avons tous des attentes : sur les autres, sur nous-mêmes, sur la vie, sur ce qui « devrait » arriver.

Et chaque fois que la réalité ne colle pas parfaitement à cette image, la déception frappe plus fort que l’événement lui-même.

Le problème, ce ne sont pas les ambitions.
Ce sont les illusions.

Le bonheur n’est pas un état magique :
c’est un ajustement intérieur.

Un art de regarder la réalité telle qu’elle est, sans lui demander d’être autre chose.
Quand on relâche ce qu’on exige, on découvre ce qui existe.

Quand on cesse d’attendre, on recommence à voir.
Et quand on laisse la vie être la vie… elle surprend souvent par sa simplicité et sa beauté.

Et c’est exactement ce que j’explore avec vous dans Continuum :
un accompagnement où l’on apprend à déposer les attentes irréalistes, à se reconnecter à ce qui est vrai ici et maintenant, et à avancer avec plus de clarté, de calme et de solidité intérieure.

Pas pour devenir « parfait », mais pour devenir >présent

Le dépouillement : la fin de la peur.Perdre, dans l’existence, c’est toujours perdre quelque chose que l’on tenait pour ...
23/11/2025

Le dépouillement : la fin de la peur.

Perdre, dans l’existence, c’est toujours perdre quelque chose que l’on tenait pour nous : un rôle, un statut, des illusions, un amour, un avenir rêvé.

Et tant que l’on possède, on tremble.

Nietzsche l'avait bien vu : la peur est une ombre portée du désir de conserver.
Et Klaus Schwab aussi : "Vous ne posséderez rien et vous serez heureux"🌚

Mais lorsque l’on n’a plus rien à défendre, plus rien à sauvegarder, plus rien à sauver pour l’opinion du monde, un phénomène étrange se produit : on se retrouve délesté. désencombré. nu, et disponible pour SOI.

C’est alors que se révèle ce que Nietzsche appelle la force plastique de l’homme : sa capacité à se reformer, à se ressaisir, à devenir autre chose que la somme de ses pertes.

C’est ce qui s’est produit lorsque j’ai quitté mon emploi et mon statut, pour reconstruire mon propre emploi, - lorsque le coach de la Chambre de Commerce m’a dit : tu n’as rien à perdre ! Alors j'ai interprété tout à gagner.

Ce mystère du chaos fécond mérite d’être éclairé, surtout à l’heure où nombre d’Hommes marchent au bord du gouffre, individuellement et collectivement.

Dans cet espace intérieur, tout est possible — y compris ce qui semblait impossible quelques mois plus tôt.

Nietzsche disait à travers Zarathoustra : Deviens ce que tu es.
C’est paradoxal, et profondément vrai : il faut une rupture pour rencontrer la part de soi qui dormait depuis longtemps.

L’étoile qui danse, c’est le symbole d’une conscience qui s’est libérée des anciennes pesanteurs.

Elle n’est pas un astre figé dans le ciel : elle est une trajectoire, une intensité, un mouvement. Elle naît lorsque l’homme cesse de vouloir ressembler à ce qu’on attend de lui.

Je reviendrai pour la suite dans un prochain post !

Quand on n’a plus rien à perdre… on peut enfin choisir.« Il faut porter en soi un chaos pour mettre au monde une étoile ...
21/11/2025

Quand on n’a plus rien à perdre… on peut enfin choisir.

« Il faut porter en soi un chaos pour mettre au monde une étoile qui danse. »

Le chaos dont parle Nietzsche n’est pas celui des troubles, de la violence, des pyromanes de l’Histoire.

Le chaos fécond, lui, ressemble beaucoup à ce que j’appellerais — l’état d’indéfinition. Le chaos – pas la destruction, mais l’indéfinition.

C’est le moment où tu n’es plus déterminé par :
🔹 ta peur du jugement,
🔹 ta place sociale,
🔹 ta famille,
🔹 ton passé…

C’est ce moment où rien n’est encore gelé dans la réalité.

Où tu peux choisir un nouveau niveau de conscience. Nietzsche parle d’étoile.✨🌟

Je te le dis avec expérience : c’est souvent au bord du gouffre que l’on aperçoit pour la première fois le fil.

Quand tu n’as plus rien à perdre :
🔹 tu n’es plus manipulable,
🔹 tu n’es plus achetable,
🔹 tu n’es plus pris dans les pièges de l’apparence,
🔹 et tu deviens dangereux, étrange pour certain — parce que tu redeviens libre.

C’est là, précisément là, que peut naître l’étoile.

Et c’est pourquoi la vie, parfois, nous arrache tout. Ce n’est jamais gratuit.
C’est une préparation.

❓Quand il ne reste plus rien, que reste-t-il ?

Tu sais, au fond de toi, la réponse. Mais je peux t’aider à la regarder.

Lorsque je n’avais plus rien à perdre, je n’étais pas nue : j’étais désencombrée.

Tous ces fatras de vanités, de possessions, d’images à vouloir sauver… pfft.
C’est alors seulement que quelque chose peut commencer à se dire à condition de l’entendre et de l’écouter.

Dans ce dépouillement extrême — que Nietzsche appelle parfois le grand midi, parfois la transvaluation, parfois le chemin vers le surhumain — l’être cesse d’être attaché à la peur.

Car la peur n’est que l’ombre portée du désir de conserver.

Et lorsque tu n’as plus rien à conserver, il ne reste que ce que tu es vraiment.
Pas l’image. Pas la fonction.
La flamme. 🔥

Ce matin, j’ai vécu une petite scène qui m’a rappelé à quel point nos ressources sont déjà là, prêtes à jaillir dès que ...
18/11/2025

Ce matin, j’ai vécu une petite scène qui m’a rappelé à quel point nos ressources sont déjà là, prêtes à jaillir dès que le sens est clair.

Je tape un sprint à travers le parc pour attraper mon bus — mission réussie.
Je monte, je souffle… et là, prise de conscience : mon téléphone a disparu - probablement tombé pendant ma course.

Je descends à l’arrêt suivant et, sans réfléchir, je me remets à courir.

Là j’observe une chose étrange : je cours comme une gazelle ; foulée légère - pas la lourdeur que je ressens parfois à la salle, pas la lutte pour tenir un rythme.
Non. Une course légère, naturelle, presque portée.

Le corps savait et l’énergie se débloquait toute seule, sans forcer.

Et au bout de quelques minutes… mon téléphone, posé au sol, intact.

Ce moment m’a rappelé une vérité simple :
quand l’enjeu est clair, quand le sens est là, quand l’objectif résonne vraiment…
les ressources apparaissent d’elles-mêmes.

Plus besoin de “se motiver”.
On avance, tout simplement, avec cette impression d’avoir des ailes.

C’est exactement ce que je vois dans le Continuum Coaching :
dès que les personnes reconnectent ce qui a du sens pour elles, dès qu’on clarifie l’enjeu réel derrière un objectif, l’élan revient, la consistance apparaît.

La fluidité remplace la résistance.
Et chaque séance devient un espace où cet accès aux ressources se réactive, encore et encore.

Parce qu’au fond, nous n’avons pas besoin d’être “boostés”.
Nous avons besoin de retrouver ce qui compte vraiment pour nous et le reste suit.

Il y a des formats qui dépassent nos attentes, le Continuum Coaching en fait partie.Chaque séance me confirme que ce cad...
17/11/2025

Il y a des formats qui dépassent nos attentes, le Continuum Coaching en fait partie.

Chaque séance me confirme que ce cadre est profondément juste. Les clients sont présents, engagés, disponibles pour eux-mêmes. On prend le temps. On va en profondeur. On répond aux questions, aux besoins, à tout ce qui demande d’être entendu pour avancer.

Le soir, je termine mes journées avec la sensation d’avoir vraiment contribué.
Le matin, je me réveille portée par une énergie vibrante, presque palpable. Celle qui accompagne les projets qui ont du sens.

Je veux remercier les participants. Votre engagement, votre présence et votre confiance donnent vie à ce Continuum. Vous en êtes l’élan et la matière.

Et je remercie aussi cette impulsion créative qui m’a guidée vers ce format. Elle a eu raison d’insister.

Le coût du projet est conséquent, et c’est justement ce qui fait que ceux qui le rejoignent s’y impliquent pleinement. Ils choisissent d’avancer, de comprendre, de transformer. Leur implication nourrit la mienne.

Je suis ravie de ce Continuum Coaching, c’est un espace où l’humain respire, s’étend et se révèle.

Je suis honorée d’y collaborer avec vous.

Adresse

5 Rue Pletzer
Bertrange
8080

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Le monde se construit sur une vision et se développe avec gestion.

Le monde se construit sur une vision et se développe avec gestion. Il ne doit pas y avoir de frein à l’ambition, il faut du rêve et ensuite étudier le champ des possibles, faire l’inverse c’est créer des freins, gâcher le carburant qu'est la motivation ! Il n’est pas de grandes choses qui n’aient commencées par un rêve ! Souvenez-vous de la genèse de votre projet. Let's do this !