Claire Foch thérapeute

Claire Foch thérapeute Accompagner les personnes malades (et leurs proches), dépressives ou en deuil Accompagnement des personnes qui vivent des pertes et des deuils.

Accompagnement (psychologique et émotionnel) des personnes atteintes de cancer et de leurs proches. Adultes et enfants. Centre Unisanté à Beloeil. RV par téléphone ou Skype www.soutiencancer.com

11/20/2025

J’avoue que s’émerveiller n’est pas le premier réflexe qui nous vient à l’esprit quand on regarde l’état du monde aujourd’hui. S’indigner, s’attrister ou abdiquer arriverait plutôt en premier. Et pourtant, c’est tout le contraire qu’on doit faire!

J’aurai beau tempêter en écoutant radoter les journalistes à la télé, rien ne va changer… Je n’ai aucun pouvoir ni sur les guerres, ni sur les décisions que prennent nos dirigeants et encore moins sur l’argent qu’ils dilapident allègrement. Le seul et unique pouvoir qui m’est imparti, c’est celui que j’ai sur ma vie. Ce pouvoir, c’est ma clé! Je dois la récupérer…

Oui, mais comment?
En devenant consciente du rôle que la Vie joue dans ma vie! La Vie n’a pas simplement fait acte de présence lors de ma naissance pour ensuite me laisser tomber. Non! Elle est toujours là pour m’aider, peu importe ce que j’ai à traverser. Et toutes ses interventions sont pure perfection.

Là, je vous entends dire : « Si la Vie est si parfaite, pourquoi les gens sont-ils malades, les peuples en guerre, la détresse en hausse? » Pourquoi? Parce que la Vie ne forcera jamais la porte de votre vie, elle va attendre que vous l’invitiez à entrer. C’est ça la clé!

Qu’on parle de détresse, de guerre ou de maladie, la cause première n’est pas l’indifférence de la Vie à l’égard des personnes touchées, c’est qu’inconsciemment ces personnes ont gardé leur porte fermée, ou ne l’ont qu’entrebâillée, empêchant ainsi la Vie d’agir pleinement dans leur vie.

Garder ma porte ouverte
Alors, comment garder ma porte grande ouverte pour que la Vie puisse œuvrer dans ma vie? C’est une question de vibration. Je dois garder mon niveau d’énergie élevé, car c’est par affinité vibratoire que la Vie agit.

Je vais choisir de nourrir mon corps d’aliments vivants, vibrants; je vais nourrir mon esprit de lectures inspirantes; cultiver des pensées et des émotions qui élèvent mon âme; marcher en Nature en goûtant son silence, et je vais le faire en conscience.

Tels des aimants…
Si, au départ, ça demande un effort, comme la Vie nous a dotés d’une pile aimantée, plus mon taux vibratoire va s’élever et plus je vais attirer les personnes, les situations, les synchronicités… qui vont m’encourager à continuer. C’est ce qui se produit quand la Vie œuvre dans notre vie.

Viendra un jour où plus rien de ce que je pourrai voir ou entendre à l’extérieur ne pourra venir contaminer ma quiétude intérieure. Moi seule pourrai décider de la direction que ma vie va emprunter : s’enliser dans la morosité ou s’élever vers plus de légèreté?

La physique quantique dit que…
Ce sur quoi je porte mon attention prend de l’expansion. Donc, si je porte mon attention sur tout ce qui m’élève, et non plus sur ce qui m’éteint, c’est plus haut que l’Everest que je vais m’élever.

Je peux aussi influencer le déroulement de ma vie en visualisant ce que j’ai envie d’expérimenter. Je vais visualiser avec précision ce que je veux voir se matérialiser, et plus il y aura de détails, mieux c’est, mais surtout, et avant tout, je vais ressentir intensément l’émotion qui va m’habiter. Je vais « faire comme si… ».

Gagnant-gagnant
Enfant, « faire comme si… », c’était notre modus vivendi. Princesse le matin, vétérinaire l’après-midi et danseuse étoile la nuit. On avait tout compris du modus operandi de la Vie. Plus je cultive la Vie dans ma vie et plus la Vie s’investit dans la mienne. Échange de bons procédés.

De toutes les émotions qu’on pouvait ressentir, s’émerveiller c’était notre préférée, parce qu’en s’émerveillant on ressentait ainsi toutes les émotions positives en même temps! Vous imaginez la puissance de l’énergie dégagée et du signal envoyé? « Hey, la Vie, je suis ici! »

Qu’attendons-nous?
De tous les sentiments que l’on puisse ressentir pour signifier à la Vie qu’elle est notre invitée VIP, l’émerveillement est le plus puissant. Alors qu’est-ce qu’on attend?

S’émerveiller devrait être le premier réflexe qui nous vient à l’esprit avant même de sortir du lit. « WOW! Aujourd’hui, c’est la meilleure journée de toute ma vie! » Et le second réflexe? Garder la télé fermée.

Lucie 🌺

11/11/2025

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11/06/2025

Dans le camp de la mort, ils lui ont donné un numéro : 119104.
Mais ce qu’ils ont le plus essayé de tuer est précisément ce qui a fini par sauver des millions de vies.
1942. Vienne.
Viktor Frankl avait 37 ans, un psychiatre respecté avec une carrière prometteuse, un manuscrit presque terminé, et une épouse, Tilly, dont le rire pouvait remplir une pièce.
Il avait une chance de s’enfuir en Amérique. Un visa. Une porte de sortie. Mais ses parents âgés ne pouvaient pas venir avec lui. Alors il est resté.
Quelques mois plus t**d, les n***s sont venus pour eux tous.
Theresienstadt. Puis Auschwitz. Puis Dachau.

Le manuscrit sur lequel il avait travaillé des années soigneusement cousu dans la doublure de son manteau lui fut arraché en quelques heures à son arrivée.
Son œuvre. Son but. Réduit en cendres.
Ses vêtements furent pris. Ses cheveux rasés. Son nom effacé.
Sur le formulaire d’admission, il ne restait qu’un numéro : 119104.

Mais voici ce que les gardes n’avaient pas compris :
on peut arracher à un homme son manuscrit, son nom, ses biens.
Ce qu’il sait… on ne peut pas le lui voler.

Et Viktor Frankl savait quelque chose sur l’esprit humain qui allait le maintenir en vie et donner naissance à une révolution en psychologie. Il remarqua un schéma.
Dans les camps, les hommes ne mouraient pas seulement de faim ou de maladie. Ils mouraient d'avoir abandonné.
Le moment où un prisonnier perdait sa raison de vivre son pourquoi , son corps s'effondrait en quelques jours.
Les médecins avaient un terme pour cela : give-up-itis , la maladie de l’abandon.
Mais ceux qui s’accrochaient à quelque chose , une épouse à retrouver, un enfant à revoir, un livre à écrire, une promesse à tenir,
enduraient l’indicible.
La différence n’était pas physique.
C’était le sens.

Alors Frankl entreprit une expérience.
Pas dans un laboratoire. Dans les baraquements.
Il s'approchait des hommes au bord du désespoir et leur murmurait :
« Qui t’attend ? »
« Quel travail te reste-t-il ? »
« Que dirais-tu à ton fils pour survivre à ça ? »

Il ne pouvait offrir ni nourriture, ni liberté, ni réconfort matériel.
Mais il pouvait offrir quelque chose que les gardiens ne pouvaient confisquer : une raison de voir demain.
L'un se rappela sa fille. Il survécut pour la retrouver.
Un autre se rappela un problème scientifique. Il survécut pour le résoudre.

Frankl, lui, survécut en reconstruisant mentalement son manuscrit ,page après page, paragraphe par paragraphe, dans l’obscurité des baraques.

Avril 1945. Libération.
Viktor Frankl pesait 38 kilos. Ses côtes transparaissaient sous sa peau. Tilly était partie. Sa mère ,partie. Son frère , parti.
Tout ce qu'il aimait avait été détruit. Il aurait eu toutes les raisons de désespérer. Toutes les raisons d’abandonner.
Au lieu de cela, il s’est assis et a commencé à écrire.
Neuf jours.
C’est le temps qu’il fallut pour recréer de mémoire le manuscrit détruit trois ans plus tôt.
Mais désormais, il contenait quelque chose que l’original n’avait pas :,la preuve.
La preuve vivante, indéniable, que sa théorie était juste.

Il l’appela Logothérapie , la thérapie par le sens.

Une idée simple mais révolutionnaire : L’être humain peut survivre à presque tout, s’il a une raison de vivre.
« Celui qui a un pourquoi peut supporter presque tous les comment. » (Il emprunta les mots à Nietzsche, mais il les avait prouvés en enfer.)
1946. Publication du livre.
En allemand : "...trotzdem Ja zum Leben sagen" , "...Dire oui à la vie malgré tout."
En anglais : Man’s Search for Meaning.

Le monde n’était pas prêt. Les éditeurs le rejetèrent au début.
« Trop morbide », disaient-ils.
« Qui voudrait lire sur les camps de concentration ? »
Puis doucement, il se répandit.
Des thérapeutes pleurèrent en le lisant. Des prisonniers y trouvèrent l’espoir.
Des personnes confrontées au divorce, à la maladie, à la faillite, à la dépression, comprirent que leur souffrance pouvait porter un sens.
L’impact fut sismique.

Le livre fut traduit en plus de 50 langues.
Vendu à plus de 16 millions d’exemplaires.
Classé par la Bibliothèque du Congrès parmi les 10 livres les plus influents d’Amérique.
Mais plus important encore : innombrables sont ceux qui, dans leur nuit la plus sombre, l’ont lu et ont trouvé une raison de continuer.

Parce que Viktor Frankl a prouvé ce que les n***s ont échoué à détruire : On peut tout enlever à un être humain , liberté, famille, avenir, espoir, mais il restera toujours une dernière liberté :
celle de choisir le sens de ce qui nous arrive.
On ne contrôle pas ce qui nous arrive.
Mais on peut toujours choisir ce qu’on en fait.

Aujourd’hui, Viktor Frankl n’est plus là.
Mais dans les chambres d’hôpital, dans les cabinets de thérapie, dans les prisons, dans ces moments silencieux où quelqu’un décide
s’il doit abandonner ou continuer, ses mots demeurent :
« Quand nous ne pouvons plus changer une situation, nous sommes mis au défi de nous changer nous-mêmes. »
« Tout peut être pris à un homme sauf une chose : la dernière des libertés humaines , choisir son attitude face à n’importe quelle situation. »

Les n***s lui ont donné un numéro. L'Histoire lui a donné l’immortalité.
Car l’homme qui a tout perdu a appris au monde que le sens est la seule chose qu’on ne peut jamais nous enlever.
Le prisonnier 119104 n’a pas seulement survécu. Il a transformé la souffrance en guérison.
Et quelque part ce soir, quelqu’un au bord du gouffre lira ses mots et choisira de tenir encore un jour.
Ce n’est pas simplement survivre.
C’est une victoire sur la mort elle-même.

10/23/2025
10/21/2025

La plus belle photo de l’année, présentée par la neurologue Rebecca Saxe. Cette image, c’est une photo de l’amour. Tout simplement. Cette image est la superposition de l’IRM qui a été capturée lors du ba**er de cette maman et de son fils avec l’activation des zones du cerveaux d’un nourrisson.
Lors d’un ba**er une réaction se produit dans son cerveau: la dopamine est libérée.
Résultat : une sensation immédiate de bien-être.
Un simple bisou provoque aussi une explosion d’ocytocine ! Cela réduit la peur et augmente la confiance, suscite des sentiments d’affection et d’attachement. Grâce à elle, bébé se sent protégé. De la vasopressine est aussi libérée, le « liant » qui lie les mères à leurs bébés, dans leurs premiers mois de vie. La présence de sérotonine, qui régule notre humeur, a également été rapportée.

10/18/2025

Après trente-deux ans d’enseignement, ma carrière s’est achevée sur une seule phrase, prononcée par un enfant de six ans :

> « Papa dit que des gens comme toi ne sont plus nécessaires. »

Il ne l’a pas dit avec méchanceté, ni même avec ironie.
Simplement, d’un ton neutre, comme on parlerait du temps qu’il fait.
Et il a ajouté, tout naturellement :

> « Tu ne sais même pas utiliser TikTok. »

J’ai passé trois décennies à enseigner à l’école primaire,
dans une banlieue tranquille de mon village.
Et aujourd’hui, j’ai rangé les cartons de ma classe pour la dernière fois.

Quand j’ai commencé, au début des années quatre-vingt,
l’enseignement était un serment sacré.
Nous n’étions pas bien payés,
mais nous avions le respect.
Les parents apportaient des gâteaux aux réunions,
et les enfants offraient des cartes dessinées de leurs petites mains,
avec des cœurs maladroits et des sourires penchés.
La joie d’un enfant lisant sa première phrase
valait toutes les récompenses du monde.

Mais quelque chose s’est lentement érodé.
Le métier que j’ai connu s’est effacé,
remplacé par l’épuisement, le manque de respect
et une solitude profonde.

Mes soirées ne se passaient plus à découper des étoiles en papier,
mais à remplir des rapports de comportement
sur une application numérique pour me protéger d’éventuelles plaintes.
Des parents m’ont réprimandé devant mes élèves —
l’un d’eux me filmait avec son téléphone
pendant que j’essayais d’apaiser un enfant en crise.

Quant aux enfants… eux aussi ont changé — sans que ce soit leur faute.
Ils arrivent à l’école épuisés, surstimulés,
leurs esprits habitués à la satisfaction immédiate des écrans.
Certains ne savent plus tenir un crayon de couleur,
ni attendre leur tour.
Et pourtant, on s’attend à ce que nous réparions tout cela
en six heures par jour, avec vingt-cinq élèves
et un budget qui relève de la plaisanterie.

Mon petit coin lecture, avec ses poufs usés et ses chansons du matin,
a été remplacé par des « données mesurables » et des « résultats quantifiables ».
Un jour, le directeur m’a dit :

> « Vous devriez être moins chaleureux, le district veut des résultats. »
Comme si la bienveillance était devenue une faute professionnelle.

Et pourtant, je me suis accroché à ces instants sacrés :
un regard de gratitude, un rire clair,
une main timide qui cherche la vôtre.
Mais peu à peu, j’ai senti que je devenais invisible.

Aujourd’hui, j’ai rassemblé mes affaires.
J’ai décollé les vieilles affiches des murs.
J’ai retrouvé une boîte de lettres de remerciement —
celle de la classe de 1998.
L’une d’elles disait :

> « Merci de m’avoir aimé quand j’étais difficile à aimer. »
J’ai pleuré en la lisant.

Il n’y a pas eu de cérémonie.
Le nouveau directeur, les yeux rivés sur son téléphone,
m’a serré la main distraitement :

> « Merci à vous, monsieur. »

J’ai laissé derrière moi la boîte d’autocollants et la chaise à bascule.
Et j’ai emporté avec moi le souvenir de chaque enfant
qui m’a un jour regardé avec confiance.
Ce souvenir-là, aucune technologie ne pourra le numériser.

Je regrette le temps où l’enseignant était un partenaire,
et non un punching-ball.
Où apprendre signifiait grandir, pas seulement obtenir une note.

Alors, si un jour vous croisez un enseignant — ancien ou actuel —,
remerciez-le.
Pas avec un café ni un cadeau,
mais avec une parole sincère,
et du respect.

Car dans un système qui les oublie trop souvent,
eux sont ceux qui n’oublient jamais nos enfants. ❤️

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Accompagnement (psychologique et émotionnel) des personnes atteintes de cancer et de leurs proches. Accompagnement des personnes qui vivent des pertes et des étapes de vie exigeantes (séparation, divorce, handicap, maladie, perte financière, déménagement...) et des deuils. Accompagnement des adultes et des enfants. Centre UniSanté à Mont-Saint-Hilaire et VIVACIA, coopérative de solidarité pour les personnes atteintes de cancer à Saint-Basile. Aussi disponible: RV par téléphone ou Skype.

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